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E-mail = photo@prisedevue.com |
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Christian Fournier, 14 square de Port Royal 75013 Paris.
Peu de photographes ont le courage de mettre en ligne toutes leurs photos au quotidien,
je le fais car je montre ainsi que quoi qu'il arrive, dans tous les
domaines, je fais toujours de belles photos pour mes clients.
Maîtrise technique, une certaine sensibilité.
Si vous comprenez toute la logistique nécessaire à tous ces missions
(devis, préparations, matériel, transports, embouteillages, sécurité, etc.), vous voyez que je suis un photographe qui assure.
Not many photographers have the courage to show their photos on a daily basis. I do it to show that in a wide range of photography,
I always take good photos for my clients. Technical perfection and an obvious sensitivity.
If you imagine the logistic necessary for these missions (estimates, preparations, equipment, transports in traffic jams, safety, etc.), you can see that I am a photographer who achieves results in all circumstances.
Fier et heureux d'être le premier à écrire un commentaire.
Photos très artistiques qui inspirent à s'émerveiller devant le corps des femmes.
Tonin.
Magnifiques clichés, sexy mais jamais vulgaires. J'adore. Luc.
Belles poses. Raffinée et sucrées. Les femmes sont belles. F.
L'origine du monde vue sous un autre angle. Gérard.
De magnifiques clichés, inspirants et envoûtants ! Tout pour le plaisir des yeux. on adore. C&R.
Chargement du film dans l'appareil 24x36mm.
Ici le Zeiss Ikon Contaflex de ma jeunesse.
Ici, shoot du film entier en face d'un miroir,
pour avoir des photos à montrer sur le négatif.
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Le Zeiss Ikon Contaflex de ma jeunesse.
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1 : Appareil photo Nikon D850
2 : Objectif Nikkor 24mm F.2.8
3 : Base de la tête du pied Manfrotto
4 : Tête flash Profoto D1 air
5 : Carte Sprint de développement des films noir et blanc
6 : Charte de compensations des temps de développements selon la température ambiante
7 : Charte Ilford de développement
8 : Évier, qui m'a manqué cruellement quand je développais dans le grenier familial en 1967
9 : Cuve de développement Paterson pour 2 spires 35 mm
10 : Spire Paterson pour film 35 mm
11 : Récipient pour les produits chimiques dilués prêts à l'emploi
12 : Robinet pour rinçages
13 : Appareil photo Zeiss Contaflex ouvert
14 : Les sachets des liquides concentrés :
révélateur, bain d'arrêt, fixateur et agent mouillant
On peut ouvrir une pellicule complètement avec un décapsuleur de bouteille.
Chargement de la pellicule dans une spire dans le noir complet.
Sur une spire, il existe deux petites marques qui représentent l’endroit où faire entrer le bout de la pellicule. Placez le début de votre film sous ces deux marques et insérez là-dedans. A ce moment, deux billes vont la bloquer légèrement. Vous devez tirer sur votre film pour lui faire passer les billes, qui vont la maintenir en place.
Dans le noir complet, on ne voit donc rien !
Bon, la même chose mais avec un coup de flash pour y voir quelque chose.
Oui, bien sûr, cette pellicule sera voilée, mais la pédagogie l'oblige !
Il faut faire des va-et-vient avec un côté de la spire pour faire rentrer
la pellicule en entier dans la spire. Toujours dans le noir complet.
Toujours dans le noir complet, placer la spire sur le tube prévu à cet effet,
et placer le tout dans la cuve.
Mettre le couvercle / entonnoir de la cuve, toujours dans le noir complet.
Quand l’entonnoir est correctement refermé, on peut rallumer la lumière.
Les sachets de révélateur, bain d'arret, fixateur et agent moulliant. Ici le kit Ilford.
Dilution des produits selon les instructions décrites sur les paquets.
Insertion des produits l'un après l'autre pendant les temps indiqués :
révelateur 10 minutes, bain d'arret une minute, fixateur 3 minutes.
Un chronomètre est bien utile. A température ambiante de 20 ° centigrade environ.
Ne pas jeter les produits usés directement dans l'évier,
c'est mauvais pour l'environnement.
Agitation quand les produits sont dans la cuve.
Un retournement de la cuve de temps en temps permet une bonne agitation.
Une fois tous les bains successivement achevés, on peut allumer la lumière et ouvrir la cuve.
On rince à l'eau courante.
On retire la spirale de la cuve.
On retire le film de la spire.
On sèche le film, et voilà.
Passé en positif cela donne ça
Le 25 fev 2023 Natasha chez Natasha Milady de Winter chez Nithaya Somsanith à Paris. Toutes les décorations sont faites par sa créativité et ses mains d'or.
LA FAMILLE ASADA le 11 février 2023, un hommage à la photographie
"Je ne déteste rien d’autre que de faire plaisir à ma famille". C’est ce que lance Masashi, alors qu’il passe sa vie à la photographier, en l’exhibant sous tous les atours : un jour mafieuse, un autre en groupe de rock, le lendemain en superhéros… Le photographe capte les fantasmes de sa famille et ceux que ses proches lui inspirent. A travers ces univers, c’est le rapport qu’entretiennent les Japonais avec l’image et la mémoire, qui identifie une mentalité. Si elle est locale, elle relève aussi d’une mythologie internationale.
Les compositions de Masashi Asada sont de pures mises en scène qui visualisent des archétypes piochés dans les souvenirs et les fictions. Mais il y a plus : le Japon est identifié par les plus grandes marques d’appareils sur le marché, et le Japonais photographe est un cliché. Ce que capte Ryôta Nakano, c’est la pensée du monde à travers la photo. Le geste photographique relève lui-même d’une culture, d'une pratique culturelle (cultuelle ?) et pour certains d’un art.
Beau film, beau geste que La Famille Asada. Ryôta Nakano traverse la ville dans tous les sens, l’inonde d’un tsunami, la peuple de personnages hauts en couleurs qui se retrouvent sur un étrange marché où les habitants recherchent leurs photos éparpillées par le séisme. L'on pense parfois à Miyazaki, mais aussi à Truffaut. Masashi est un œil dans l’âme : il raconte des histoires par l’image, il pense la mémoire, tant culturelle que vécue, comme un des beaux-arts.
Le 12 fev 2023 : Les tribulations d'Erwin Blumenfeld 1930-1950 au 71 rue du Temple à Paris.
Les Tribulations d'Erwin Blumenfeld, 1930-1950
Le musée d'art et d'histoire du Judaïsme présente « Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950 ». Cette exposition met en lumière, à travers près de 180 photographies dont des ensembles inédits, sa période la plus féconde. Ses expérimentations artistiques révélèrent son talent pour la photographie de mode qui l'amena à travailler pour les plus grands magazines américains. L'exposition offre également des éclairages sur sa vision de l’art et sur sa vie personnelle pendant l'Occupation.
Entre son installation à Paris en 1936, et les débuts de sa carrière américaine, après 1941, Erwin Blumenfeld (Berlin, 1897 — Rome, 1969) voit son destin, tant artistique que personnel, bouleversé. Sa plongée dans l’effervescence de la capitale et l’univers de la mode est brutalement interrompue par la défaite de 1940. Il connaît l’errance, l’internement comme « étranger indésirable » dans plusieurs camps français avant d’obtenir un visa pour les États-Unis. Embarqué sur le Mont Viso, il doit encore subir l’enfermement avec sa famille dans un camp français au Maroc. Blumenfeld traverse cette tourmente comme nombre d’artistes juifs, mais peut se réfugier in extremis aux États-Unis, où il renoue immédiatement avec l’industrie de la mode.
Sans titre, Marianne Tischier, dite Manina, Paris vers 1937. Solarisation en chambre noire.
La période des années 1930 aux années 1950 à laquelle l'exposition est consacrée est aussi celle de la révélation de son talent photographique, le moment d’une expérimentation artistique originale et foisonnante, poursuivie avec la même ferveur de Paris à New York. Après des débuts dadaïstes, marqués par des photomontages politiques prémonitoires sur la Seconde Guerre mondiale, Blumenfeld construit une œuvre loin des troubles du temps. Elle s’inspire et prolonge des techniques adoptées notamment par les tenants de la « Nouvelle vision », tant lors de la prise de vue qu’en laboratoire : solarisation, réticulation, surimpression, miroirs et jeux optiques, jeux d’ombres et de lumières forment pour lui une grammaire au service d’une image où la beauté et le nu féminin occupent une place centrale. Il mettra en particulier son génie au service de la photographie de mode, et sera précurseur dès les années 1940 dans le domaine de la couleur, propice à de nouvelles expérimentations.
Lisette Blumenfeld, c'est sa sœur !
Je reconnais bien là, les échancrures en haut à droite qui permettent de savoir où est la surface sensible du plan film pour pouvoir l'insérer dans le bon sens dans le châssis porte-film qui va ensuite à l'arrière de la chambre photographique
C'était bien avant Photoshop : réaliser ce genre de montage en chambre noire demandait beaucoup de temps, de savoir faire et de persévérance.
De gauche à droite et de haut en bas :
Harper's Bazaar, décembre 1941. Harper's Bazaar, novembre 1942. Harper's Bazaar, juillet 1943. Harper's Bazaar, février 1942. Collier's, 22 janvier 1944. Vogue, 2er février 1945. Vogue 15 mars 1945. Vogue, juillet 1945. Vogue 1er novembre 1944. Vogue 1er novembre 1945. Vogue 15 janvier 1945. Vogue 15 octobre 1949. Vogue 15 janvier 1950. Vogue mai 1945.
Kaleidoscope of American Fashion, november 1948.
Archives Erwin Blumenfeld.
Oui, j'ai acheté cette couverture.
Son studio photo.
Frédérique a trouvé une faute d'orthographe : c'est en fait : la rue Delambre. C'est à deux pas de là où nous habitons.
Le 5 fev 2023 : Album de famille par Andrew Birkin – Galerie de l'Instant, 46 rue du Poitou, 75003
Assistant réalisateur aux côtés de Stanley Kubrick, scénariste, réalisateur, Andrew Birkin a passé sa vie entouré d’artistes, et dans ces images de famille a su capter l’énergie et l’intimité de ces personnages hors du commun. Le portrait de Serge de profil avec sa chienne Nana et leurs 2 longs nez est aussi simple que parfaite. L’humour, tout british de la photo de Serge lisant son journal titrant « le torchon brûle chez les Gainsboug » le visage affolé , est un régal. Sans compter sur l’émotion dégagé par les clichés des enfants toujours présents et prêts à jouer avec l’objectif !
Nous sommes heureux de partager ce voyage dans le temps et ces instants de vie d’une famille unique et si attachante !
Au printemps 1971, Dominique Tarlé se rend à la Villa Nellcote qui domine Villefranche-sur-Mer. Prenant un peu de distance avec le fisc britannique, les Rolling Stones se sont installés dans le sud de la France et Keith Richards a jeté son dévolu sur cette magnifique bâtisse de la Belle Époque.
Une hausse qui s'est accentuée au moment de la période estivale et des examens de fin d'année scolaire, portant le délai d'attente de rendez-vous à 65 jours en moyenne (contre 11,5 jours en avril 2021). Dans certains départements, les délais d'attente pouvaient dépasser 100 jours.
J'ai revu le 2 février 2023, mon modèle Penthouse de 1993. Elle va très bien et est psychothérapeute à Paris. Nous avons mangé au restaurant Epheméra Under the sea, spectaculaire restaurant branché inspiré des fonds marins, servant des plats de poissons/fruits de mer du monde et des cocktails.
Le 16 janvier 2023 : Portraits de Pierre HL chez Dana, Cuisine de saison, au 22 rue Malesherbes, pour le magazine anglais Risk.![]() ![]() |
![]() Subodh Gupta au Bon Marché le 15 janvier 2023 avec Frédérique Gorsky Des verrières historiques aux vitrines de la rue de Sèvres, en passant par l'espace d'exposition du deuxième étage, Subodh Gupta imagine pour Le Bon Marché plusieurs installations, toutes composées de mobilier vintage, de milliers d'ustensiles de cuisine et de fragments de miroirs. Le nom de ce projet ? « Sangam* » ! *Référence à la Kumbh Mela de Prayagraj (Allahabad), un immense pèlerinage à la confluence sacrée du Gange, de la Yamuna et de la mythique Saraswati.tt ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() La façade du magasin Louis Vuitton, sur les Champs-Élysées à Paris, a fait peau neuve. Le bâtiment a été redécoré à l'occasion d'une collaboration avec l'artiste Yayoi Kusama. ![]() Le 14 jan2023 : PROQxART avec Frédérique Gorsky. Le 59 Rivoli, initialement baptisé Chez Robert : électrons libres, est un collectif d'artistes, fondé et basé dans un immeuble anciennement squatté au numéro 59 de la rue de Rivoli à Paris. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Ivan le paravent, Christian Fournier et Allan Mc Horn. ![]() |
La liberté d'expression existe en France
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Le 2 janvier 2023 : Tea Time russe / Mad Hatter dans mon studio avec Frédérique et Natasha. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() Nous avons vu Avatar 2 : on s'y croyait ! |
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This pun does not work in English. The French expression: to do something "aux petits oignons" means "do it well" ![]() ![]() Merci Madame Hidalgo pour les chocolats. N'oubliez pas mes requêtes pour plus de bancs publics, de toilettes et de noms des rues plus lisibles à Paris. ![]() |
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