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En sortant pour acheter mon pain, J'ai une pensée triste pour tous ces arbres sacrifiés pour ce papier qui va directement à la poubelle. Je passe le mur d'une résidence = PLEIN DE PUB. Elle déroule 4 affiches en 3 minutes.
Je contourne un kiosque à journaux = PLEIN DE PUB. Plein de colonnes Maurice sur le trottoir, elles montrent des promotions de spectacles et de films = donc PLEIN DE PUB. Si, si c'est quand même de la pub. Arrivé à destination, j'active mon Smartphone pour trouver mon chemin : les noms des rues sont remplacés par les noms des magasins = PLEIN DE PUB. J'achète des piles dans un supermarché. Consommant 15 fois plus d’électricité que les panneaux rétro-éclairés ils sont le symbole de tout ce que notre société de consommation a produit de plus absurde : des objets inutiles, poussant à la consommation, énergivores, polluants et agressifs. Dans un avenir proche, ce sont des publicités que les enfants prendront peut-être pour Superman, en scrutant la nuit, le ciel étoilé. Les plus inquiets diront : Black Mirror. Cette fois-ci, on les comprend. D’autant que ladite société russe a déjà un premier client. Il s’agit d’envoyer des nanosatellites dans l’espace – pas plus grands qu’une "boîte à chaussures", précise le site de la radio. Une fois dans l’espace, chaque petit satellite devrait alors se déployer en une voile, et jouer ainsi le rôle d’un pixel grâce à la lumière du soleil qui s’y réfléchira. "Chaque voile déployée jouerait le même rôle qu’un pixel lumineux sur le fond noir du ciel, permettant ainsi de former des logos ou des messages", précise Europe 1. Ainsi, pour reconstituer un message publicitaire ou le logo de Pepsi par exemple, il faudra quelque 200 à 300 nanosatellites. C’était fin août 1981. Les passants avaient été intrigués par une jolie fille, Myriam, qui annonçait : « Le 2 septembre, j’enlève le haut« . Une publicité problématique de 1981 refait surface sur les panneaux publicitaires Parisiens depuis quelques jours. On y voit une quinquagénaire en maillot de bain devant une mer bleu turquoise. Le slogan associé à la publicité prône : « Le 2 novembre j’enlève encore le haut ». Cette femme incarnerait Myriam Szabo des années après sa première apparition dans une publicité similaire. En effet, en 1981, Myriam Szabo apparaissait sur les panneaux publicitaires dans les rues de Paris et de plusieurs grandes villes françaises. En bikini sur une plage paradisiaque, elle annonçait : « Le 2 septembre, j’enlève le haut. » Le 2 septembre, parole tenue la jeune femme dévoilait sa poitrine et nous disait : « Le 4 septembre, j’enlève le bas. » Quelques indignations ont eu lieu mais les Francais.es attendaient, intrigué.es, impatient.es, de voir si le corps de Myriam allait être révélé totalement nu d’après les articles qui traitaient de l’impact de cette publicité. Et le 4 septembre, promesse tenue, Myriam Szabo ôtait finalement le bas, mais se tenait de dos. Le message étant le suivant : « Avenir, l’annonceur qui tient ses promesses. » L’afficheur Avenir souhaitait démontrer qu’il était en mesure de changer toutes les affiches publicitaires en une seule nuit. Cette campagne publicitaire aguicheuse était la première à jouer sur l’effet de teasing, c’est-à-dire sur l’attente des consommatrices/consommateurs. La publicité aurait eu selon un sondage Ipsos de 1985, 72 % de bons retours, 60 % des personnes interrogées jugeant la campagne comme étant proche de la création artistique et 2 français.es sur 3 auraient aimé.es que leurs proches y fassent carrière. Ce qui est problématique avec la campagne de 1981, comme avec celle de 2022, c’est qu’elle s’appuie sur un corps féminin comme objet d’intrigue pour vendre quelque chose. Chose que nous ne connaissons pas à première vue, car les premières images ne présentent pas de marque, ni de produit à vendre. La femme est présentée comme objet du regard, les gens attendent de la voir se dévêtir. Le corps des femmes ne leur appartient pas, il est jeté en pâture dans les rues des grandes villes pour être regardé par des hommes. Au regard des images publicitaires, dans les médias, dans la pornographie, le corps des femmes subit toujours le même traitement, il est hyper-sexualisé. Il présente les femmes comme des corps, pour vendre, les regarder, les désirer. Personne n’y fait plus réellement attention, c’est une représentation banalisées après tout ! Mais les femmes ne sont-elles que des corps ? Qu’en est-il de leurs pensées, de leurs travaux scientifiques, historiques qui, bien sûr, ne sont pas mis en avant ? Le moyen de communication d’Avenir s’appuie sur le corps des femmes, comme il aurait pu s’appuyer sur une image de la misère, pour influencer l’empathie des consommatrices/consommateurs ou stimuler leur désir et in fine vendre leurs services. Ce sont des publicités qui ont pour but de choquer, d’intriguer pour « faire le buzz », qu’on en parle ! Tous les moyens sont bons. D’où le fait de réactualiser, des années après, la publicité « Myriam » qui a eu de bonnes remontées en 1981 ! Il est temps d’en finir avec ces représentations sexistes et de reprendre le pouvoir sur nos corps, ne laissons pas passer ces images sexistes et réductrices. Condamnons ces marketings qui se servent de l’image des femmes pour attirer l’œil et vendre leurs produits. Nous ne savons pas encore l’issue de cette campagne, toutefois, espérons que le résultat sera différent en termes de production et de réception ! Sur France Inter, dans l’émission Affaires sensibles « Une campagne de pub inédite : « Demain, j’enlève le haut » du 17 juin 2021, Fabrice Drouelle nous disait : « La campagne de pub Myriam. Une campagne que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître ? Sans doute. Et qui serait, aussi, difficilement concevable de nos jours. » Et pourtant ! Affaire à suivre le 2 novembre… ************************* Derrière nos écrans de fumée. The Social Dilemma. « Si vous ne payez pas pour un produit, c'est que VOUS êtes le produit » Réalisé par Jeff Orlowski, Derrière nos écrans de fumée (dont le titre originel est The Social Dilemma) est un film documentaire qui permet de donner la parole à une sélection de spécialistes triés sur le volet. On retrouve en effet une flopée d’experts de la tech qui ont travaillé chez Twitter, Google, Pinterest, Facebook ou encore Instagram qui nous mettent unanimement en garde contre leurs inventions/travaux et décrient l’impact dangereux des réseaux sociaux sur notre quotidien. Ce documentaire produit par Netflix est un excellent moyen de prendre conscience très concrètement des dangers de ces applications qui animent nos vies. LA FACE CACHÉE DES RÉSEAUX SOCIAUX Des experts en technologie et des militants sonnent l'alarme concernant certaines de leurs inventions qui provoquent des addictions et déstabilisent les démocraties. « Derrière nos écrans de fumée », réalisé par Jeff Orlowski, est un des documentaires les plus intéressants du moment sur Netflix. Pendant une heure et demie, sans prise de tête, il nous emmène dans le côté obscur des réseaux sociaux en interrogeant des « pontes » de Facebook, Twitter, Pinterest ou Instagram qui ont préféré quitter cet univers. Le constat de ces spécialistes est cruel : ils ont créé un monstre et ce monstre s'est échappé. L'impact extrême des réseaux sociaux sur les jeunes, les fake news, la manipulation des opinions, tout est décrit sans concession. Parlant de Facebook, l'un des interviewés explique : « Si vous ne payez pas pour un produit, c'est que VOUS êtes le produit ». A méditer. Facebook, Twitter, Pinterest ou Instagram ont collecté tant de données et elles en savent tellement sur nous, grâce aux milliards de capteurs que nous transportons avec nous toute la journée maintenant sur nos téléphones. De quoi parle "Derrière nos écrans de fumée" ? Le film de Jeff Orlowski interroge des experts des médias et d’anciens ingénieurs en médias sociaux, dont Tristan Harris du Center for Humane Technology ; le co-inventeur du bouton « Like » de Facebook, Justin Rosenstein ; Tim Kendall, ancien président de Pinterest et ancien directeur de la monétisation de Facebook ; Cathy O’Neil, auteur de Weapons of Math Destruction ; et Rashida Richardson, directrice de la politique à l’AI Now Institute. C’est un sujet préoccupant dont nous sommes tous plus ou moins vaguement conscients, surtout à la suite de l’augmentation des enquêtes sur la grande influence de Facebook sur les comportements et les opinions, notamment des jeunes. Mais le fait de voir tout cela sous forme de documentaire pourrait bien vous inciter à supprimer enfin toutes vos applications de réseaux sociaux sur votre téléphone. Le documentaire qui va vous faire éteindre votre téléphone Le dernier documentaire signé Netflix dénonce efficacement l’addiction créée par les réseaux sociaux. Surveiller et trahir Les dérives et utilisations abusives prennent une tournure tragique lorsque sont énumérés les chiffres des suicides et dépressions adolescentes, qui ont triplé depuis l’apparition de ces médias. La Génération Z, première exposée à leurs dangers, ne semble pourtant pas moins protégée que les générations précédentes, au vu des théories conspirationnistes qui pullulent en masse et autres rabbit hole créés par Google ou Facebook. Un grand nombre des préjudices causés par leur utilisation est listé, à l’image de la dysmorphie due à Snapchat ou des ingérences russes. DES DÉRIVES BIEN RÉELLES Évidemment, il n’y a pas que les capybaras altruistes qui inquiètent ces hommes qui témoignent dans The Social Dilemma, ces anciens de la tech qui se construisent une morale après avoir enchaîné les jobs dans les Pinterest YouTube Twitter Google Facebook Instagram, et se présentent depuis quelques années comme les lanceurs d’alerte prétendument légitimes d’un système qu’ils ont largement contribué à bâtir. Il y a aussi la politique, évidemment, les fausses informations qui engendrent les fausses informations, les manœuvres de déstabilisations géopolitiques qui n’ont même pas eu besoin de piratage pour arriver à leurs fins, juste de détourner des outils qui sont déjà présents. « Nous n’avions pas anticipé tout ça lorsque nous avons créé Twitter il y a 12 ans », entend-on le CEO Jack Dorsey balbutier. Et puis il y a ces « bulles », les fameuses « bulles » qui vous permettent de « vous isoler dans une bulle, grâce à la technologie », entend-on une présentatrice américaine asséner à la télévision. Pour montrer combien elles peuvent être néfastes, The Social Dilemma dépeint la chute d’un adolescent fictif dans le gouffre des vidéos complotistes d’un parti inventé, l’Extrême Centre, se voyant proposer de plus en plus de vidéos similaires et sombrant dans la radicalisation d’extrême droite. Un YouTubeur, en particulier, attire son attention : un homme blanc qui parle face caméra et professe des « ils nous mentent, ils nous contrôlent » à longueur de vidéos. Tristan Harris est assis sur une chaise, face caméra et nous assure : « Comment pouvez-vous vous réveiller de la matrice si vous ne savez pas que vous êtes dans la matrice ? Le virtuel ne serait pas le vrai monde ? Que l’on soit un utilisateur acquis ou non aux réseaux sociaux, le fait est que les écrans vampirisent de plus en plus notre quotidien au point de devenir une véritable drogue. C’est la thèse que “Derrière nos écrans de fumée” développe au sein de son nouveau documentaire choc. En croisant fiction et intervention d’experts (l’on retrouve notamment des acteurs de la tech’ comme le créateur de Pinterest ou bien encore le CEO de Twitter), ce documentaire compte bien sensibiliser les jeunes et les moins jeunes aux dangers des réseaux sociaux ainsi qu’à impact qu’il pourrait bien avoir sur le devenir de notre humanité. (rien que ça…) Si le propos est volontairement alarmiste, il parvient à faire le tour de grandes questions : utilisation excessive des applications, addiction, polarisation, dévalorisation de soi, manipulation par la récupération de data et enfin, les fausses informations qui peuvent conduire au déséquilibre de nos démocraties. Petit bonus, en fin de documentaire, les professionnels à qui l’on a donné la parole distribuent de nombreux conseils qui pourraient s’avérer bien utiles… Après cela, il y a même fort à parier pour que vous désactiviez toutes vos notifications 😉 « Derrière nos écrans de fumée » : un réquisitoire contre « l’algorithmisation » de nos vies Quand le journaliste demande à Tim Kendall, ancien responsable de la monétisation de Facebook et ex-directeur de Pinterest, ce qui l’inquiète le plus dans le développement exponentiel des réseaux sociaux, il soupire et réfléchit un bref instant avant de répondre. « A très court terme ? La guerre civile. » Les algorithmes qui cherchent, avec chaque jour un peu plus d’efficacité, à nous maintenir « engagés » sur Facebook, YouTube, Instagram ou Twitter. Comment expliquer concrètement le fonctionnement de ces algorithmes, quand du propre aveu des « repentis » qui s’expriment, seule une poignée de personnes, chez Google ou Facebook, comprennent réellement ces logiciels ? Pour y parvenir, le documentaire a recours à un petit artifice, en prenant pour exemple une famille fictive dont on mesure, entre deux entretiens, le rapport difficile à la technologie : celle-ci conduit le fils à s’isoler, tandis que la fille développe une mauvaise image d’elle-même. Face à eux, trois acteurs jouent le rôle des algorithmes, qui ont pour but de les maintenir accrochés à leur téléphone et leur vendre des publicités ciblées. Cambridge Analytica : Le scandale Facebook-Cambridge Analytica ou la fuite de données Facebook. Cambridge Analytica renvoie aux données personnelles de 87 millions d'utilisateurs Facebook que la société Cambridge Analytica (CA) a commencé à recueillir dès 2014. Ces informations ont servi à influencer les intentions de vote en faveur d'hommes politiques qui ont retenu les services de CA. À la suite de la révélation de la fuite, les publics américain et britannique ont exprimé leur indignation. Même si la société Facebook s'est excusée, la valeur de ses titres boursiers a sensiblement décliné. |
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Reportages sur les pompiers de Paris J'habite à côté des pompiers du 75013 depuis 30 ans. Ils ont toujours apprécié mes reportages photo. Le 22 octobre 1887, la caserne s'est installée au 55, boulevard du Port-Royal (Paris 13e). Elle est implantée au centre et sur les hauteurs de la rive gauche, face aux jardins du Val – de - Grâce. Le bâtiment est conçu par Antoine – Julien Ménard. La caserne offre des conditions privilégiées aux pompiers avec une très haute tour de séchage pour les tuyaux, un gymnase fermé, des façades d'exercice, la cave dite à feu située sous le séchoir, pour les manœuvres de feu de cave, de vastes écuries et une belle cour pour leurs barbecues. |
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Challenge International du Monde des Grandes Ecoles et Universités le 1er juin 2013 au Stade Charletty |
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- Les journées internationales. |
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Le vendredi 26 novembre 2021 2 novembre : Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes = à sully menacé par l'armée November 2: International Day to End Impunity for Crimes Against Journalists 27 octobre : Journée mondiale du patrimoine audiovisuel = mon doublage femme de loi 15 nov 2014 Post prod dans les studio de Alizé Films le 25 octobre 2007 : TF1 : Femmes de loi aux Buttes Chaumont, saison 2, épisode 34 : Une femme parfaite. Réalisateur : Hervé Renoh Avec : Natacha Amal (Elisabeth Brochene), Noémie Elbaz (Emilie Jeanson), Esteban Carvajal Alegria (Aymeric Delarive), Sabine Crossen (Fantomas), Christian Fournier (Le photographe). J’installe un studio de mode aux Buttes Chaumont et joue mon métier de photographe pour le tournage d’Alizes Film. Séries TV, Genre : Policier, Date de sortie : mai 2008, Durée : une heureMerci à Louise pour les photos de moi. 30 septembre : Journée mondiale de la traduction. Comme je suis bilingue français-anglais et photographe professionnel, je traduis des livres de photographie de l'anglais vers le français. Exemples de traductions : Un livre de photographie de 95 pages, aux Editions VM, Paris : "Le portrait", traduis de l'Anglais vers le Français, ISBN : 2-86258-201-8. Un livre de photographie de 168 pages, collection Pro-Lighting, aux Editions VM, Paris : "La Photo Glamour", traduis de l'Anglais vers le Français, ISBN : 2-86258-190-9. La gastronomie française a été inscrite en 2010 au patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Cette reconnaissance a été suivie par le lancement de la “Fête de la Gastronomie” en 2011 à l’initiative de Frédéric Lefebvre, alors Secrétaire d’État chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation. 15 septembre : Journée internationale de la démocratie. International Day of Democracy La Liberté guidant le peuple est une huile sur toile d'Eugène Delacroix réalisée en 1830, inspirée de la révolution des Trois Glorieuses. Le tableau est exposé au musée du Louvre en 1874. L'œuvre a été fréquemment choisie comme symbole de la République française ou de la démocratie. Liberty leading the people is an oil on canvas by Eugène Delacroix made in 1830, inspired by the Three Glorious Revolution. The painting was exhibited at the Louvre in 1874. The work was frequently chosen as a symbol of the French Republic or of democracy. 2 journées de prises de vue, type événementielle et filmage, en extérieur, en région Rhônes-Alpes, les samedi et dimanche 2 et 3 sept 2001. 2600 photos. Repérage la veille pour déterminer les meilleurs endroits propices aux prises de vue. Le but est de photographier chaque participant, ou chaque équipe de trois participants, lors de 2 courses (pied, canoë) à un endroit stratégique du trajet qui donne une bonne vue des sportifs (si cela existe). Le brassard doit être vu le mieux possible pour l'identification ultérieure. Une coopération des organisateurs est souhaitable. Les prises de vue du samedi 01 sept sont les candidats immédiatement après leur inscription dans un petit endroit réservé à cette fin. Trois photos par équipe. Les prises de vue sont en numérique, avec le Nikon D1X, fichiers de 7 Mo en RVB, format JPG. Les photos restent brutes, sans retouches. Gravure et livraison de 3 CD-ROM Mac/PC chez Komerezo le dimanche soir. 23 août : Journée mondiale Topless est un événement annuel organisé pour soutenir le droit des femmes à se mettre seins nus en public pour des raisons d'égalité des sexes. La liberté seins nus … Je ne poste pas de photo car FB ne tolère pas La liberté seins nus .... Go Topless Day - August 23, 2020 - Go Topless Day is an annual event held to support the right of women to go topless in public on gender-equality grounds. Topless freedom … I do not post any photo because FB do not tolerate Topless freedom ... J'ai 3 millions de mes photos chez moi et je me souviens de toutes, August 19: World Photography Day. Cette photo m'a été immédiatement censurée par Facebook avec une semaine d'interdiction de publier. Par contre j'ai vu les 8 minutes de la vidéo de George Floyd en train de mourir. Ils ont mis une journée à censurer Aux USA, le naturisme est donc plus tabou que la mort en gros plan. La Journée mondiale contre le travail des enfants est un jour férié sanctionné par l'Organisation internationale du travail et lancé en 2002 dans le but de sensibiliser et de lutter contre le travail des enfants. The World Day Against Child Labour, which is held every year on June 12, is intended to foster the worldwide movement against child labour. The World Mini Skirt Day was planned and launched in 2015 by Rachid Ben Othman, President of the League for the Defense of Secularism and Freedoms, and feminist activist Najet Bayoudh. Their call to Tunisian women to participate in a mini-skirt rally on June 6th is a sign of solidarity with the oppressed woman Aujourd'hui, c'est la journée mondiale de la mini-jupe. L'occasion de rappeler que les femmes ont le droit de porter ce qu'elles veulent et ce, peu importe leur religion ou le pays dans lequel elles vivent. Le débarquement de Normandie, également appelé débarquement en Normandie, ou encore débarquement allié en Normandie, nom de code opération Neptunec, est une opération militaire amphibie et aéroportée alliée de la Seconde Guerre mondiale lancée dans la nuit du 5 au 6 juin 1944. C'est la phase d'assaut d'une plus vaste opération qui vise à créer une tête de pont alliée de grande échelle dans le nord-ouest de l'Europe et l'ouverture d'un nouveau front à l'ouest. Ce débarquement marque le début de l'opération Overlord, nom de code de la bataille de Normandie. Cette opération Neptune incluait les opérations aéroportées américaine et britannique pendant la nuit du 6 juin ainsi que les bombardements préparatoires aériens et navals des défenses côtières allemandes, la traversée de la Manche par plusieurs milliers de navires et enfin le débarquement des troupes dès le 6 juin au matin (« Jour J ») sur les plages du nord-est du Cotentin et de l'ouest du Calvados dans les secteurs (d'ouest en est) d'Utah Beach et Omaha Beach et de la pointe du Hoc pour les Américains, Gold Beach pour les Britanniques, Juno Beach pour les Canadiens et Sword Beach pour les Britanniques (incluant les Français libres des commandos Kieffer). Une fois les plages prises, l'opération se poursuit par la jonction des forces de débarquement et l'établissement d'une tête de pont sur la côte normande puis l'acheminement d'hommes et de matériels supplémentaires. Les jours suivants voient la mise en place des structures logistiques (ports artificiels Mulberry, oléoduc sous-marin PLUTO) pour le ravitaillement du front et le débarquement de troupes supplémentaires. 25 mai : Journée mondiale de la serviette. 25th May is international towel day.
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