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Mes reportages photographiques culturels par (plus ou moins) ordre chronologique inversé. Julia Margaret Cameron, née le 11 juin 1815 à Calcutta et morte le 26 janvier 1879 à Ceylan, est une artiste photographe britannique. Une photographe amatrice tardive (1863-1874) Aftersquat, 59 rue de Rivoli Paris, le 6 jan 2024 avec Frédérique Gorsky.
Le 59 Rivoli accueille dans ses murs mythiques plus de 30 artistes en résidence.
Programmés tous les samedis et dimanches, pléthore de concerts animent le lieu et sa galerie. Le 59 se veut être -- par essence -- un pôle artistique autour duquel expressions singulières, langues d’art et créativités variées gravitent.
AU COMMENCEMENT ÉTAIT LE SQUAT (1999-2002)
Le 1er novembre 1999, Gaspard Delanoë, Kalex, et Bruno Dumont forcent la porte d’entrée du 59 rue de Rivoli à Paris, gigantesque bâtiment haussmannien laissé à l’abandon pendant huit ans par le Crédit Lyonnais et les pouvoirs publics. À cette époque, la banque fait faillite et ses actifs sont liquidés (parmi lesquels deux cents immeubles vacants dans Paris). Quelques jours plus tard, une dizaine d’artistes viennent squatter l’immeuble, l’habiter et y installer leurs ateliers qu’ils ouvrent aux visiteurs.
Autogéré par le collectif « Chez Robert, Électrons Libres », le 59 Rivoli accueille dès sa première année d’existence plus de 40 000 visiteurs. Néanmoins, la menace d’expulsion plane toujours au-dessus des artistes. En 2000, une décision judiciaire les contraint à quitter les lieux : les artistes squatteurs ont alors 8 mois pour évacuer l’immeuble. Constatant que les occupants sont peu bruyants et qu’ils ouvrent leurs portes au public, la préfecture de Paris décrète qu’elle préfère attendre les élections municipales pour prendre une décision quant à l’ouverture ou à la fermeture définitive du lieu. En 2001, Bertrand Delanoë est élu, et il s’engage à racheter l’immeuble. Cet accord passé entre les squatteurs aura par la suite de nombreux retentissements. L’institutionnalisation du 59 Rivoli ouvrira symboliquement la voie à la signature d’autres conventions d’occupation telles que celles de la Tour 111, la Petite Rockette, le Jardin d’Alice, la Gare XP, la Générale, le Théâtre de Verre et d’autres collectifs d’artistes-squatteurs.
L'AFTERSQUAT, UN LIEU CONVENTIONNÉ (2009-...)
Après plusieurs années de travaux, la réouverture officielle du 59 Rivoli intervient le 9 novembre 2009. Cette date clé légalise la présence des artistes, encourage l’élan créatif dont ils sont porteurs et marque la pérennisation d’un projet devenu réalité. L’idée : accueillir, dans un lieu alternatif, un essaim d’une trentaine d’artistes disposant de leurs propres ateliers et à même de partager avec le public l’expérience d’une création quotidienne. Avec 50 000 visiteurs la première année, le 59 devient alors le 3ème centre parisien de diffusion de l’art contemporain derrière le Centre Georges-Pompidou et la Galerie Nationale du Jeu de Paume.
Aujourd’hui, le collectif d’artistes qui capte chaque année l’attention de dizaines de milliers de visiteurs a mis en place un nouveau genre d’accès à l’art à la fois plus intimiste, plus démocratique et permettant de pallier en partie la pénurie d’ateliers d’artistes dans Paris.
Frédérique Gorsky. Le studio Harcourt est un studio photographique fondé en 1934 à Paris par la photographe Germaine Hirschfeld, Robert Ricci et les frères Jacques et Jean Lacroix, particulièrement connu pour ses portraits en noir et blanc de vedettes de cinéma et de personnalités. Il est installé depuis juin 2016 dans un hôtel particulier de 1 000 m2 au 6, rue de Lota dans le 16e arrondissement de la capitale.
Le studio fait faillite fin 1990. Sous l'impulsion de Jack Lang, le ministère de la Culture achète alors le fond de photographies du studio en 1986, composé de cinq millions de négatifs datant de 1934 à 1991, représentant plus de 500 000 personnes dont 1 500 personnalités.
Le style Harcourt se caractérise généralement par un plan rapproché du sujet — plan taille cadré sur le buste ou gros plan sur le visage, ce qui implique un travail de retouches assez élaboré, sur le négatif comme sur l'épreuve, pour gommer les imperfections du portraitisé et affiner le grain de la peau — selon une esthétique extrêmement codée.
Le style Harcourt se caractérise généralement par un plan rapproché du sujet — plan taille cadré sur le buste ou gros plan sur le visage, ce qui implique un travail de retouches assez élaboré, sur le négatif comme sur l'épreuve, pour gommer les imperfections du portraitisé et affiner le grain de la peau — selon une esthétique extrêmement codée.
Le modèle est pris sous son meilleur angle, souvent de trois-quarts ou en contre-plongée (le plan frontal est rare), éclairé par une lumière de projecteurs de cinéma généralement latérale (éclairage au tungstène qui favorise les effets de luminescence sur le visage et de moire sur le fond) ou en halo créant un fort effet de clair-obscur, en profondeur de champ faible, sur un fond de dégradé du gris au noir, avec l'attention portée sur les yeux, détournés ou élevés. Cet effet de style se retrouve ainsi exploité par d'autres photographes dans des registres différents de celui du cinéma et du monde du spectacle.
Depuis sa création et d’après une estimation de Francis Dagnan, président du studio, près de 150 photographes ont réalisé les prises de vue du studio Harcourt.
En haut à droite Jean Reno Serge Gainsbourg Thomas Pesquet Sarah Forestier Je ne sais pas qui est la star du premier plan. Je suis preneur, si quelqu’un connait . La cocote minute, j'ai pas compris Frédéric Laurent Tomer Sisley. A gauche, Jean Jacques Annaud Louise Bourdouin Anno1900 – Steampunk Convention septembre 2023 à Fond-de-Gras, Luxembourg. Avec Frédérique Gorsky. Note de la direction Anno1900 : Événement public Public event Öffentliche Veranstaltung
2023-08-05 : Le 59 de la rue de Rivoli. Frédérique Gorsky Fumer tue. |
2023-07-13 : Japan Expo à Villepinte Elles me prennent pour Bill Murray de Ghost Buster |
Eiffela, réplique de la Tour de Gustave Eiffel, a été installée sur le Champ de Mars le 1er avril.
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L’exposition Elliott Erwitt au musée Maillol le 25 mars 2023. Une rétrospective rend hommage à l’un des photographes les plus importants du XXème siècle, membre de Magnum Photos depuis 1954. Le parcours présente son œuvre à travers un ensemble de 215 photographies en noir et blanc et en couleur. Photographe américain d’origine européenne, Elliott Erwitt est à la fois un peintre de l’intime, photojournaliste, photographe publicitaire, réalisateur et portraitiste de personnalités comme Marilyn Monroe ou encore Jackie Kennedy, Charles de Gaulle, Ernesto “Che” Guevara, Alfred Hitchcock, Nikita Khrouchtchev,… L’exposition rend compte de la diversité des sujets abordés et l’unité profonde de l’œuvre. Il a une manière d’immortaliser des moments de la vie quotidienne avec un regard qui n’appartient qu’à lui, mélangeant humour et émotion. À travers une scénographie exceptionnelle, vous découvrirez la sensibilité unique du photographe, notamment dans ses clichés en couleurs. « En réalité, dire qu’il y a de l’humanité dans mes photos est le plus grand compliment qu’on m’ait jamais fait. » – Elliott Erwitt Frédérique écoute l'audio guide Elliott dans son bureau |
Avant l'orage 18 fev 2023 à la Bourse du Commerce L’exposition « Avant l’orage » invite à un cheminement à travers des installations et des œuvres de près d’une vingtaine d’artistes qui métamorphosent tous les espaces du musée. LUCAS ARRUDA, HICHAM BERRADA, DINEO SESHEE BOPAPE, FRANK BOWLING, JUDY CHICAGO, TACITA DEAN, JONATHAS DE ANDRADE, ROBERT GOBER, DOMINIQUE GONZALEZ-FOERSTER, FELIX GONZALEZ-TORRES, PIERRE HUYGHE, BENOIT PIÉRON, DANIEL STEEGMANN MANGRANÉ, ALINA SZAPOCZNIKOW, DIANA THATER THU VAN TRAN, CY TWOMBLY, DANH VO, ANICKA YI Dans l'un des auditoriums du sous-sol : un œuvre incroyable : une petite fille avec un masque blanc évolue comme chez elle. Petit à petit on se rend compte que c'est en fait un singe avec un masque blanc. NdP (note du photographe) |
Le 12 fev 2023 : Les tribulations d'Erwin Blumenfeld 1930-1950 au 71 rue du Temple à Paris. |
2023-02-04 : Le Colors Festival. Un espace insolite complètement réhabilité. Un palette de 80 artistes connus et émergents venus des 4 coins du monde. |
2023-02-05 : Album de famille par Andrew Birkin – Galerie de l'Instant, 46 rue du Poitou, 75003 Assistant réalisateur aux côtés de Stanley Kubrick, scénariste, réalisateur, Andrew Birkin a passé sa vie entouré d’artistes, et dans ces images de famille a su capter l’énergie et l’intimité de ces personnages hors du commun. Le portrait de Serge de profil avec sa chienne Nana et leurs 2 longs nez est aussi simple que parfaite. L’humour, tout british de la photo de Serge lisant son journal titrant « le torchon brûle chez les Gainsboug » le visage affolé , est un régal. Sans compter sur l’émotion dégagé par les clichés des enfants toujours présents et prêts à jouer avec l’objectif ! Nous sommes heureux de partager ce voyage dans le temps et ces instants de vie d’une famille unique et si attachante ! Au printemps 1971, Dominique Tarlé se rend à la Villa Nellcote qui domine Villefranche-sur-Mer. Prenant un peu de distance avec le fisc britannique, les Rolling Stones se sont installés dans le sud de la France et Keith Richards a jeté son dévolu sur cette magnifique bâtisse de la Belle Époque. |
Le défilé du Nouvel an Chinois, année du lapin, le 29 janvier 2023 Avenues de Choisy et d'Ivry, 75013 Paris. |
Des verrières historiques aux vitrines de la rue de Sèvres, en passant par l'espace d'exposition du deuxième étage, Subodh Gupta imagine pour Le Bon Marché plusieurs installations, toutes composées de mobilier vintage, de milliers d'ustensiles de cuisine et de fragments de miroirs. Le nom de ce projet ? « Sangam* » ! *Référence à la Kumbh Mela de Prayagraj (Allahabad), un immense pèlerinage à la confluence sacrée du Gange, de la Yamuna et de la mythique Saraswati.tt |
Le 14 jan2023 : PROQxART avec Frédérique Gorsky. Le 59 Rivoli, initialement baptisé Chez Robert : électrons libres, est un collectif d'artistes, fondé et basé dans un immeuble anciennement squatté au numéro 59 de la rue de Rivoli à Paris. Cette appropriation du lieu par des artistes a été légalisée par une convention avec la mairie de Paris. |
2022-12-17 : Art et préhistoire au Musée de l'Homme à Paris Des chefs-d'œuvre de l'art préhistorique venus du monde entier. Une exposition qui retrace le pouvoir de la créativité humaine depuis la nuit des temps ! C'est une vulve (d'après le musée). Les premiers dessins porno de l'humanité ! Son ombre ressemble au Concorde ! |
Frédérique et moi-même avons visité les préparatifs le 29 oct 2022 et l'expo le 13 dec 2022 au Jardin des Plantes : "Mini-mondes en voie d'illumination", une centaine de sculptures illuminées sur le thème de l'infiniment petit. Les préparatifs le 29 oct 2022 |
Le 4 dec 2022 : PARIS MANGA - SCI-FI SHOW au Parc des Expositions - Paris Nord Villepinte. Ce salon est dédié à la culture asiatique et à la science-fiction, allant de la culture traditionnelle, aux jeux vidéo et manga, des séries TV au cinéma et aux comics. |
Sculptures de sable Théo Mercier à la Conciergerie le 24 nov2022. En métamorphosant la salle des Gens d’armes de la Conciergerie de Paris en une cathédrale des sommeils, l’artiste nous invite dans la profondeur de ses songes faits de sables mouvants incertains et de fragments d’architecture en ruine. Commence dès lors une traversée réparatrice dans les cauchemars et les rêves blessés du plasticien qui a imaginé ce paysage de lits défaits d’une grande fragilité. L’exposition, constituée d'une cinquantaine de sculptures de sable, nous emmène ici en balade dans les sables du temps, dans l’épaisseur de la nuit, du sommeil paradoxal et du rêve conscient. |
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Le 9 nov 2022 : Fondation Cherqui : Quelques œuvres optiques dans un lieu magique à Aubervilliers. |
Le 8 nov 2002 : Expo photo chez Christie's. Des tirages iconiques de Peter Lindbergh, Robert Mapplethorpe, Jacques Henri Lartigue, Sarah Moon, Helmut Newton, Horst, Irving Penn, Richard Avedon, etc.
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2022-10-29 Expo AFP "l'argentique à l'iconique" 20 rue de Turenne Avec Frédérique Gorsky. Conseil aux photographes : ne travaillez pas pour l'AFP (Agence France Presse) : les noms des photographes n'apparaissent pas, ni au bas des photos, ni sur les génériques. Quand je pense aux photographes qui ont travaillé dur, des fois risqué leur vie pour l'AFP ! Advice to photographers: do not work for AFP (Agence France Presse): the names of the photographers do not appear, neither at the bottom of the photos, nor on the credits. When I think of photographers who have worked hard, sometimes risked their lives for AFP! L'Agence France-Presse (AFP) est une agence de presse généraliste française chargée de collecter, vérifier, recouper et diffuser l'information, sous une forme neutre, factuelle et utilisable directement par tous types de médias (radio, télévision, presse écrite, sites internet) ainsi qu'auprès des grandes entreprises et administrations. Réalisant la moitié de son chiffre d'affaires commercial hors de France, l'AFP est implantée dans environ 151 pays avec 201 bureaux. Fondée en août 1944 pour prendre la suite d'Havas, elle assure une couverture complète de l'actualité mondiale, dans tous les domaines et sous toutes ses formes : photographie, infographie, vidéo et texte dans six langues. L’actrice Marlène Dietrich signe des autographes à l’hippodrome de Longchamp. Paris (Porte d’Auteuil), 1939. Actress Marlene Dietrich signing autographs at the Longchamp racecourse. Paris (Porte d’Auteuil), 1939. Épreuve argentique sur papier baryté, d’après fichier numérique (tirage lambda noir et blanc). Timbre sec AFP dans la marge en bas à droite. Tampon « AFP 5/11/2022 Edition Spéciale N° : 1/1 » au verso. Gelatin silver print on baryta paper, from digital file (black and white lambda print). Blind stamp AFP in the lower right margin. Stamp “AFP 5/11/2022 Edition Spéciale N° : 1/1” on verso. Image : 44 x 66 cm - 17.3 x 26 in Papier : 60 x 80 cm - 23.6 x 31.5 in En haut à droite : Un caméraman filme des adolescents rapatriés du camp de concentration allemand de Buchenwald E bas à droite : Des femmes s’occupent de jeunes enfants lors d’un camp d’été organisé par l’Entraide Française pour les enfants défavorisés et victimes de la guerre. Le château de Guette à Villeneuve-Saint-Denis, le 31 mai 1945. Women look after young children during a summer camp organized by Entraide Française for disadvantaged children and victims of the war. The château de Guette in Villeneuve-Saint-Denis, May 31, 1945. Prisonniers de guerre français, réquisitionnés pour le STO (Service du Travail Obligatoire) ou déportés, rapatriés depuis Odessa à bord du navire Duchess of Bedford. Marseille, mars 1945. French prisoners of war, requisitioned for the STO (Service du Travail Obligatoire) or deported, repatriated from Odessa on board the ship Duchess of Bedford. Marseille, March 1945. Drapeau américain déployé sur une barricade érigée avenue de la porte d’Orléans (aujourd’hui avenue du Général Leclerc) lors de la bataille pour la libération de Paris, août 1944. American flag unfurled on a barricade erected on the avenue de la Porte d’Orléans (now Avenue du Général Leclerc) during the battle for the liberation of Paris, August 1944. Épreuve pigmentaire numérique sur papier Canson Infinity Platine. Timbre sec AFP dans la marge en bas à droite. Tampon « AFP 5/11/2022 Edition Spéciale N° : 1/1 » au verso. A gauche : Danseuses de cabaret dans Chinatown. San Francisco, 1947. Cabaret dancers in Chinatown. San Francisco, 1947. Épreuve argentique sur papier baryté, d’après fichier numérique (tirage lambda noir et blanc). A droite : AFP –
Un homme fumant dans Chinatown. San Francisco, janvier 1947. A man smoking in Chinatown. San Francisco, January 1947. Épreuve argentique sur papier baryté, d’après fichier numérique (tirage lambda noir et blanc). Timbre sec AFP dans la marge en bas à droite.
Blind stamp AFP in the lower right margin. En bas à droite : Passagers attendant à l’aérogare Air France Paris-Invalides, Passengers waiting at the Air France Paris-Invalides terminal, before taking a shuttle to Orly or Le Bourget airports, November 1946. Épreuve argentique sur papier baryté, d’après fichier numérique (tirage lambda noir et blanc). Timbre sec AFP dans la marge en bas à droite. Tampon « AFP 5/11/2022 Edition Spéciale Gelatin silver print on baryta paper, from digital file (black and white lambda print). Blind stamp AFP in the lower right margin. Stamp “AFP 5/11/2022 Edition Spéciale.
A droite : Des écoliers français dans une salle de classe d’une école primaire lors du premier jour Épreuve argentique sur papier baryté, d’après fichier numérique (tirage lambda noir et blanc). Le président français Charles de Gaulle accueilli lors de sa visite officielle aux États-Unis. San Francisco, 27 avril 1960. French president Charles de Gaulle welcomed during his official visit in the United States of America. San Francisco, April 27, 1960. Épreuve argentique sur papier baryté, d’après fichier numérique (tirage lambda noir et blanc). Image : 36 x 36 cm - 14.2 x 14.2 in – Papier : 45 x 45 cm - 17.7 x 17.7 in Parc d’artillerie de la Butte Montmartre pendant la guerre franco-prussienne. Paris, 18 mars 1871. Artillery park in Montmartre during the Franco-Prussian war. Paris, March 18, 1871. Épreuve argentique sur papier baryté, d’après fichier numérique (tirage lambda noir et blanc). Timbre sec AFP dans la marge en bas à droite. Tampon « AFP 5/11/2022 Edition Spéciale N° : 1/1 » au verso. Des écoliers font une pause toilette dans la cour d’une école primaire le jour de la rentrée des classes. Paris, 1er octobre 1949. Épreuve argentique sur papier baryté, d’après fichier numérique (tirage lambda noir et blanc). (black and white lambda print). Les sponsors sont bien là, mais pas les photographes ! Avis aux photographes : n'y allez pas ! |
2022-10-10 Van Goch et Yes Klein à L'Atelier des Lumières |
Fête de la science le 16 oct 2022 à l'Institut d'astrophysique de Paris L'Institut d'astrophysique de Paris est un observatoire des sciences de l'univers appartenant à Sorbonne Université et associé au Centre national de la recherche scientifique. Il est situé au nᵒ 98 bis du boulevard Arago, dans le 14ᵉ arrondissement de Paris, à proximité de l'Observatoire de Paris. Chaque année, l'Institut d'Astrophysique de Paris participe à la manifestation nationale « La Fête de la science ». Durant la semaine, les chercheur-se-s et ingénieur-e-s de l'IAP présentent les différents sujets de l'astronomie et de l'astrophysique devant des classes d’école primaire, de collège ou de lycée qui se rendent sur place accompagnées par leur enseignant-e (contact : Alain Riazuelo). Le week-end, l'institut ouvre ses portes au public et propose une grande variété d'activités : des expériences d'astronomie, des ateliers pédagogiques, des conférences, des films et documentaires, des expositions de panneaux d’information sur l'institut, ses recherches et son histoire (contact : Jean Mouette). |
L'hyperréalisme à l'honneur au musée Maillol le 25 sept 2022 avec Frédérique Gorsky Un univers troublant. L’hyperréalisme est un courant artistique apparu dans les années 1960 aux États-Unis et dont les techniques sont explorées depuis lors par de nombreux artistes contemporains. L’exposition présente une série de sculptures qui ébranlent notre vision de l’art. Réalité, art ou copie ? L’artiste hyperréaliste tourne le dos à l’abstraction et cherche à atteindre une représentation minutieuse de la nature au point que les spectateurs se demandent parfois s’ils ont affaire au corps vivant. Ces œuvres génèrent ainsi une sensation d’étrangeté́. |
2022-08-19 "JAM CAPSULE, EXPÉRIENCE CULTURELLE IMMERSIVE À PARIS. Le 19 août 2002 à Paris, Porte de Versailles : Leur pub : "JAM CAPSULE, EXPÉRIENCE CULTURELLE IMMERSIVE À PARIS. Voyager au cœur des plus beaux paysages japonais. Une expérience sonore et visuelle unique en Europe à travers une série d'œuvres thématiques diffusées à 360º." Moi : Les vues sont la plupart du temps une juxtaposition de petites photos carrées. Il n'y a pas vraiment d'immersion, sauf la grande vue des cerisiers du Japon. C'est beaucoup moins beau que l'Atelier des lumières DESTINATION COSMOS, de novembre 2021. |
Au Musée de la libération de Paris le 23 juillet 2022 avec Frédérique Gorsky, dans les sous-sols et avec en plus des lunettes 3D : Il y a plus de soixante-quinze ans, à la tête de la 2e division blindée, le général Leclerc, franchissait la porte d’Orléans de Paris et remontait l’avenue qui porte aujourd’hui son nom jusqu’à la place Denfert-Rochereau. Après avoir passé plus de 20 ans près de la gare Montparnasse, c’est sur cette même place, chargée d’histoire, que le musée de la Libération de Paris - musée du général Leclerc - musée Jean Moulin a ouvert ses portes. Un musée repensé grâce à des outils de médiation innovants et un site qui appartiennent doublement à l’histoire puisque c’est dans ces pavillons datant de 1787 et jusque-là fermés au public, que le colonel Rol-Tanguy, chef des Forces françaises de l’intérieur (FFI) avait installé son PC, dans le sous-sol du bâtiment. Un précieux témoin des journées qui ont précédé la Libération de Paris, le 25 août 1944. |
2022-05-26 : Le petit prince à la MAD |
Le 03 mai 2022 : LE DESIGN POUR TOUS : DE PRISUNIC À MONOPRIX, UNE AVENTURE FRANÇAISE Le Musée des Arts Décoratifs célèbre l’histoire du design pour tous à travers deux des plus grandes enseignes de distribution d’objets du quotidien qui ont su démocratiser le design : Prisunic puis Monoprix. L’exposition retrace, à travers plus de 500 œuvres (mobilier, objets et affiches publicitaires), cette aventure créative et engagée, que résume le slogan devenu culte : « Le beau au prix du laid ». Une super vue sur le jardin des Tuilleries |
Vaux le Vicomte le 23 avril 2022 avec Frédérique Gorsky, Odile Troesch-Varlet, Orel XIV, Jean-Bernard Ruet, Jean-Christophe Peyrard, Isabelle Vimont, Anne Alias, Kavalière Arverne, Jeanne Fleur, Aurore et André Berteaux, Mr et Mme Vast, Anne Gestin, Anna Breeze, Thierry Liard, etc.. Tout ce qui s'est passé à Vaux reste à Vaux Merci à Jean-Christophe pour ce making of Tout ce qui s'est passé à Vaux reste à Vaux Tout ce qui s'est passé à Vaux reste à Vaux Merci à Jean-Christophe pour ce making of Tout ce qui s'est passé à Vaux reste à Vaux Les photographes qui shootent aveuglément. Tout ce qui s'est passé à Vaux reste à Vaux |
Festival du Livre au Grand Palais Ephémère Paris le 22 avr 2022. En présence de Jean-Luc Mélanchon. Jean-Luc Mélanchon Anne-Laure Jacquart |
Le Colors Festival au 27 bvd Jules-Ferry 75011 à Paris le 21 avril 2022 Imaginé par l’artiste Combo. Plus de 65 artistes, français et internationaux. Cette nouvelle édition fait de nouveau la part belle à la couleur à travers un parcours d'œuvres XXL, avec des installations imaginées par les artistes, des espaces ludiques et immersifs… |
Des références ciné Chacune des images de Steve McCurry, pour la plupart connues dans le monde entier, renferme un univers complexe d’expériences et d’émotions. L’exposition, conçue par Biba Giacchetti, propose un long voyage dans le monde de Steve McCurry, de l’Afghanistan à l’Inde, de l’Asie du Sud-Est à l’Afrique, de Cuba aux États-Unis, du Brésil à l’Italie, à travers son vaste et fascinant répertoire d’images, où l’Humain est toujours le protagoniste principal, même s’il n’est qu’évoqué. "Je m'efforce d'obtenir des images individuelles qui resteront gravées dans la mémoire des gens." “I strive for individual pictures that will burn in people's memories.”
Le 22 janvier 2022 : L'exposition photographie et médecine au Val-de-Grâce.
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L'annonce officielle : En novembre 2021, Paris Photo rassemble au Grand Palais Éphémère et en ligne plus de 175 galeries et éditeurs prestigieux du monde entier, offrant ainsi aux collectionneurs et amateurs d’art un "panorama complet de la photographie". L’opportunité unique de rencontrer les plus grands artistes, d’acquérir des œuvres historiques et contemporaines ainsi que des éditions rares et limitées et d’approfondir leurs connaissances du médium avec des conférences et parcours commentés. Christian Fournier : "Un panorama complet de la photographie" = complètement faux ! Paris photo est une exposition de photos genre "art contemporain", c’est-à-dire pour les gens qui ont beaucoup plus d’argent que de goût ou de connaissances en photographie. |
2021- 12- 05 Exposition d'Annie Leibovitz à L'Académie des Beaux-Arts le 4 dec 2021. Annie Leibovitz a sélectionné plus de 200 images couvrant cinquante ans de travail au cours desquels elle a développé le style conceptuel qui l’a rendu célèbre. |
Le 4 juillet 2021 : "Extatiques" sur le parvis de La Défense. Des artistes français et internationaux conviés pour cette exposition ont créé des sculptures et des installations inédites qui bousculent notre vision du monde. Cette année, on peut admirer le travail de Tony Cragg, Alain Passard, Cyril Lancelin, Luka Fineisen, Johan Creten, Jean-Fançois Fourtou, Daniel Arsham, Jean-Bernard Métais, Lilian Bourgeat, Nils-Udo, Noël Dolla et bien d'autres. En moins d'une minute, le ciel s’est assombri. Je n'avais jamais vu cela auparavant. |
Le 4 juillet 2021 : "Histoires de Photographies" au Musée des Arts Décoratifs. Une rétrospective plongeant les visiteurs, comme son nom l'indique, dans l'histoire de la photographie sur un demi-siècle. Willy Ronis Jeanloup Sieff Paolo Roversi Robert Doisneau Man Ray Irving Penn Janine Niépse. C'est une photographe française, née le 12 février 1921 à Meudon et morte le 5 août 2007 à Paris. Parente éloignée de Nicéphore Niépce, l’inventeur de la photographie. Elle est l’une des premières françaises à exercer le métier de journaliste reporter-photographe en 1946 et parcourt la France pendant plusieurs années. Elle témoigne à la fois de ce qui disparaît et montre l’évolution de la société (la première télévision en 1963, les moyens de transport rapides,…) avec leurs différences à la campagne, en province et à Paris. Puis, à partir de 1963, elle voyage en Europe et dans le monde (Japon, Inde, Cambodge, Etats-Unis, Canada). En mai 1968, elle couvre les évènements vêtue en touriste étrangère. J'étais LEICAGRAPHE dans ma jeunesse. Bettina Rheims |
30 juin 2021 : Colors Festival Paris le 30 juin 2021. 600 m2 de street art éphémère dans un immeuble désaffecté à Paris. Dans le 11ème arrondissement de la capitale, Combo, Ardif, Levalet, Ana Conda, Codex Urbanus, Jo di Bona et bien d’autres célèbres street artistes ont littéralement métamorphosé un lieu endormi en spot d’art urbain haut en couleur ! 600 m2 d’arc-en-ciel du sol au plafond. L'ajout du pistolet Pulp Fiction est de Christian Fournier. Colors Festival Paris on June 30, 2021. 600 m2 of ephemeral street art in an abandoned building in Paris. |
2021 : La BNF dévoile au public français Henri Cartier-Bresson. Malheureusement, les photos sont interdites. La BnF dévoile au public français Henri Cartier-Bresson. Le Grand Jeu, un projet inédit autour de la Master Collection du photographe. L’exposition est le fruit d’une collaboration exceptionnelle entre la Bibliothèque nationale de France et Pinault Collection, avec le concours de la Fondation Henri Cartier-Bresson. Ensemble créé en 1973 par l’artiste lui-même à la demande de ses amis et collectionneurs Dominique et John de Ménil, la Master Collection réunit « les 385 meilleures photographies de Cartier-Bresson dans les tirages les meilleurs possibles ». Tirée en six exemplaires répartis à travers le monde, elle offre un panorama exceptionnel de l’œuvre universelle et intime de « l’œil du siècle » et revêt une importance tant historique qu’artistique. |
Le 26 mars 2021 : Début de l'exposition géante "Le Chat déambule" de Philippe Geluck : |
Le 27 mars 2021 : "Monumentales Egéries" de Manolo Valdés Opera Gallery Paris rend hommage au célèbre peintre et sculpteur espagnol Manolo Valdés, en lui consacrant une exposition à ciel ouvert de 10 sculptures monumentales au cœur de Paris, Avenue Georges V. Reconnu comme l’un des artistes majeurs de la création contemporaine, Valdés explore depuis près de 60 ans les grands classiques de l’histoire de l’art et inscrit son œuvre dans la lignée des grands maîtres qui l’ont précédé. Les sculptures d'aluminium, de bronze, de résine et d'acier inoxydable revisitent le thème classique du portrait féminin cher à l’artiste. Leurs têtes stylisées surmontées de couronnes, de coiffes portent le nom de femmes actuelles, de muses et de déesses anciennes. La monumentalité, chez Valdés, est adaptée à la ville. Ses formes rondes et horizontales prennent place naturellement dans les environnements citadins où elles brisent la rectitude des avenues et la verticalité des bâtiments. Certaines œuvres de l’expositions sont de véritables prouesses techniques de 7 mètres d’envergure. Manolo Valdés transcende les difficultés provoquées par la monumentalité et trouve dans cette dernière l’envergure de son travail sculpté. Les œuvres monumentales de Manolo Valdés séduisent par leur caractère aérien grâce à sa maîtrise exceptionnelle du vide qui traverse l’entrelacs de coiffes de ses grandes dames. |
Le 26 mars 2021 : Place du Louvre à Paris, l'artiste @hopare1 a installé 5 de ses oeuvres en bronze dont une magistrale de 3m de haut. Des oeuvres dont les visages incarnent la culture, l'avenir et la transmission pour un projet dont le message d'humanité est essentiel, aujourd'hui plus que jamais ... @agence_ds |
Le 31 jan 2021 : Expo "Noir et Blanc" venue du Grand Palais, dans le métro. L'exposition « Noir & Blanc » s'invite à la station Luxembourg ©Nicolas Krief pour la RMN-Grand Palais/Conception graphique : Aurore Brunet / Nicolas Krief Alors que l’exposition « Noir & Blanc, une esthétique de la photographie » au Grand Palais est reportée à une date ultérieure, les voyageurs dans l'obligation de se déplacer sur le réseau bénéficient en avant-première d’une série de photographies inédites issues de la collection de la Bibliothèque Nationale de France. A gauche : Séeberger Femme habillée par Jenny, Biarritz 1929, au fond Denis Roche : 24 décembre 1984, Les Sables-d’Olonnes, Atlantic Hôtel, chambre 301 1981, Courtesy Galerie Le Réverbère, Lyon. En premier-plan à droite : Ansel Adams, Self-portrait, Monument Valley, Utah, 1958. Plus au fond à gauche: Hippolyte Blancard, Monsieur Blancard et Mademoiselle L.Vulliemin, en blanc à Arromanches, 1887, coll. BnF, tout au fond René Burri Copocabana Rio de Janeiro, Brazil 1958. Hippolyte Blancard (né le 8 août 1843 et mort le 26 août 1924) est un photographe français, plus particulièrement connu pour les photographies, tirées selon le procédé du platinotype, qu'il prit durant le Siège de Paris (1870) et la Commune de Paris (1871). Il était pharmacien, se passionnait pour la photographie et en fit un grand nombre (environ cinq cents) de Paris et sa banlieue. Hippolyte Blancard, Monsieur Blancard et Mademoiselle L.Vulliemin, en blanc à Arromanches, 1887, coll. BnF. A droite : Louis Stettner fillette jouant dans des ronds de lumière Penn Station New-York 1952, au fond : Edward Steichen Gloria Swanson portrait pour Vanity Fair 1924. A gauche Burk Uzzle New York 1971, au centre Raph Gibson Chrisitine 1974, à droite Willy Ronis Venise 1959. A gauche : Flor Garduno Corbeille de lumière 1989, au centre Jean Reutlinger autoportrait de Jean avec Germaine Schroeder, vers 1913, à droite : Romualda Rakauskas Portrait 1975. Charles Hartbutt, A bord du Mistral, France, 1975. coll. BnF. Courtesy Joan Liftin. Willy Ronis, Vincent au bol, [jeune garçon buvant son bol de lait], 1946, © BnF - Département des Estampes et de la Photographie © Rmn - Gestion droit d'auteur Willy Ronis. A gauche : Alexandre Rochtchenko jeune fille au Leika 1934, au centre Pier giordio Branzi Bar sur la plage Adriatique 1957, |
28 mai 2021 : Le Musée du Luxembourg met les femmes à l'honneur avec son exposition "Peintres femmes, 1780-1830. Naissance d’un combat". Visite théâtrale avec acteurs en costumes On croit volontiers qu’après la gloire d’Elisabeth Vigée Le Brun liée à l’Ancien Régime, il faut attendre la deuxième moitié du XIXe siècle pour trouver des peintres femmes aussi remarquables. Pourtant, c’est entre 1780 et 1830, que le combat de ces dernières a trouvé ses racines : le droit à la formation, la professionnalisation, une existence publique et une place sur le marché de l’art. Les artistes femmes présentées au Musée du Luxembourg à l’occasion de cette exposition furent tant les actrices de ces changements sociaux que des mutations de l’art du XIXe siècle. Commissariat : Martine Lacas, Docteur en histoire et théorie de l’art Scénographie : Loretta Gaïtis, architecte scénographe et Irène Charrat, scénographe Avec la Compagnie du Chapeau de Paille : Acteur et metteur en scène : Alexandre Laval Actrice : Claire Penalver. |
Le dimanche 18 juillet 2021, je photographie l'exposition "Marc Riboud - Histoires possibles" au Musée Guimet. Son épouse, Catherine Riboud Chaine a effectué en août 2016 la donation de la totalité du fond de Marc Riboud, soit cinquante mille négatifs, diapositives et épreuves sur papier, au Musée national des Arts asiatiques - Guimet, qui organise en 2021 la première grande exposition monographique consacrée au photographe : « Marc Riboud - Histoires possibles ». |
2012-08-12 La cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Londres. |
La cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Londres 2012, nommée A Symphony of British Music (Une symphonie de musique britannique) a lieu le 12 août 2012 dans le stade olympique de Londres. La diffusion dans le monde entier a commencé à 21h00 GMT (et s'est terminée à 0h11 soit une durée totale de 3 heures et 11 minutes. L'audience globale est estimée à 750 millions de téléspectateurs. En présence de David Cameron, premier ministre du Royaume-Uni, Catherine Middleton, duchesse de Cambridge, etc… La flamme olympique a été éteinte le 13 août 2012 à 0h01 pour symboliser la fin des Jeux. Panoramique de 140 Mo, 24 photos verticales assemblées avec le logiciel Stitcher. Nikon D800 et objectif Nikkor 14-24mm F2.8. The London 2012 Olympic games closing ceremony. Julian Lloyd Weber with the London Symphony performing Edward Elgar’s piece “Salut D’Armour” . Madness performing “Our House” . The Massed Bands of the Household Division performing “Parklife” . The Pet Shop Boys performing “West End Girls” . One Direction performing “What Makes You Beautiful” . Ray Davies performing The Kinks “Waterloo Sunset” . Elbow performing “One Day Like This” & “Open Arms” (accompanied by Urban Voices Collective and the LSO . Freddie Mercury of Queen performing “Bohemian Rhapsody” . George Michael performing “Freedom ’90’” & “White Light” . Kaiser Chiefs performing The Who’s “Pinball Wizard” . David Bowie compilation of music including “Fashion” . Annie Lenox performing “Little Bird” . Ed Sheeran performing Pink Floyd’s “Wish You Were Here” with Nick Mason . Ed Sheeran, Nick Mason & Richard Jones (The Feeling) performing with Mike Rutherford (Genesis) . Russell Brand performing “Pure Imagination” from Willy Wonka and the Chocolate Factory . Fatboy Slim performing “Right Here, Right Now” and “The Rockafella Skank” . Performances by Jessie J, Tinie Tempah and Taio Cruz and together performing the Bee Gees “You Should Be Dancing” . The Spice Girls reunite performing “Spice Up Your Life” and “Wannabe” . Beady Eye with Liam Gallagher performing Oasis’s “Wonderwall” . Eric Idle performing “Always Look On The Bright Side of Life” . Muse “Survival” written for London 2012 . Jessie J performing “We Will Rock You” with Brian May and Roger Taylor. |
le 24 avril 2009 : Fajer Alrajaan's graduation ceremony at American University in Paris at théatre du Chatelet with Reza
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Exposition Olivier Föllmi au Salon de la Photo en 2017 Olivier Föllmi, né le 28 février 1958 à Saint-Julien-en-Genevois est un photographe franco-suisse1. Il est particulièrement connu pour ses photos de l'Himalaya, notamment du Zanskar et du Tibet et de leurs habitants. Il s'est marié à Danielle Pons en 1984, avec qui il a adopté 2 enfants zanskaris Tenzin Motup et Tenzin Diskit et 2 enfants tibétains Yvan Tharpa Tséring et Leonore Pema Yangdon. Séparé de Danielle Föllmi en 2010, il s'est marié avec Véronique Girod en 2018. Olivier Föllmi est nominé au festival Visa pour l'image de Perpignan en 1999 pour son reportage photo Travailleurs de l'Himalaya et a travaillé dans le monde entier pour les magazines Life, Paris Match, Géo, National Geographic, Grands Reportages, Stern, Epoca ou Aérone. Photo de Olivier Föllmi. |
Antoine Schneck 24 septembre 2016 : Exposition soldats inconnus à l'Arc de Triomphe par Antoine Schneck. Antoine Schneck, au Musée Chasse et Nature le 14 avril 2010 Exposition Antoine Schneck au Art Paris ART FAIR le 31 mars 2013 au Grand Palais. Exposition Antoine Schneck au Salon de la Photo en 2017. En 1993, je rencontre Antoine Schneck, photographe et meilleur businessman que moi. Il me propose une collaboration et nous créons "L'Atelier Fournier Schneck". Plus d'info page 42 de ma bio. Antoine Schneck, né le 27 août 1963 à Suresnes, est un photographe français représenté par la galerie parisienne Berthet-Aittouarès. 1992 Lauréat de la Fondation CARAT, 1999 Lauréat du prix "Attention talent" de la Fnac, 2009 Premier prix du portrait de la Hahnemühle Fine art expositions : - 2015 Antoine Schneck, du masque à l'âme, Galerie Berthet-Aittouarès, Paris. Exposition personnelle. - 2015 ArtParis, Galerie Berthet-Aittouarès, Grand Palais (Paris), Exposition de groupe. - 2014 Soldats inconnus, salle des Palmes, Arc de triomphe de l'Étoile, Paris. Exposition personnelle. - 2012 ArtParis, Galerie Berthet-Aittouarès, Grand Palais, Paris. Exposition de groupe. - 2011 ArtParis, Galerie Berthet-Aittouarès, Grand Palais, Paris. Exposition de groupe. Tsiganes en Roumanie, Fondation SAM pour l’art contemporain. Exposition personnelle. Orangerie du Sénat. Exposition personnelle. Les Gisants, Basilique de Saint-Denis, Centre des Monuments Nationaux. Exposition personnelle. - 2010 Antoine Schneck, Galerie Berthet-Aittouarès, Paris. Exposition personnelle. Maliens, ArtParis, Galerie Berthet-Aittouarès, Grand Palais, Paris. Exposition de groupe. Leur chien, Musée de la Chasse et de la Nature, Paris. Exposition personnelle. Arts d’Afrique noire. Photographies d’Antoine Schneck, Cité de l’écrit et des métiers du livre, Montmorillon. Exposition personnelle. Art Elysées, Galerie Berthet-Aittouarès, Paris. Exposition de groupe. Antoine Schneck. 40 photographies, Galerie Berthet-Aittouarès et Galerie Aittouarès, Paris. Exposition personnelle. - 2009 : Indiens, ArtParis, Galerie Berthet-Aittouarès, Grand Palais, Paris. Exposition de groupe. Formule 1, Installation dans l’usine Ferrari, Maranello, Italie. Triptyque, Angers. Exposition collective. Antoine Schneck, Galerie Berthet-Aittouarès, Paris. Exposition personnelle. Art Elysées, Galerie Berthet-Aittouarès, Paris. Exposition de groupe. - 2008 : Miao, ArtParis, Galerie Berthet-Aittouarès, Grand Palais, Paris. Exposition de groupe. Antoine Schneck, Portraits d’Afrique, Parcours des Mondes, Galerie Berthet-Aittouarès, Paris. Exposition de groupe. Miao, Art Elysées, Galerie Berthet-Aittouarès, Paris. Exposition de groupe. Tribal Portraits, vintage and contemporary photographs from African continent, Galerie Bernard J. Shapero Rare Books, London. Exposition de groupe. - 2007 : Portrait de Placido Domingo, Façade de l’Opéra de Washington, États-Unis. Antoine Schneck, au Musée Chasse et Nature le 14 avril 2010 Son expo au Musée de la chasse en 2010. Avec Eric Colmet Daage Antoine Schneck et Eric Colmet-Daâge, rédacteur en chef du magazine "Photo" le 14 avril 2010. Photo est un magazine bimestriel français consacré à la photographie, édité par le groupe EPMA et fondé par Daniel Filipacchi en 1967. Le magazine s'efforce de traiter de la photographie sous ses nombreux aspects, du photojournalisme à la photographie d'avant-garde, en passant par la mode, et surtout le nu artistique — qui caractérise la plupart de ses couvertures. Photo, par sa longévité et sa présence à l’international, est, selon sa baseline, « la référence de l'image depuis 1967 ». Éric Colmet-Daâge devient le directeur de la rédaction et le directeur artistique de Photo en 1994. 24 septembre 2016 : Exposition soldats inconnus à l'Arc de Triomphe. Le photographe Antoine Schneck est à l'honneur de cette exposition dans laquelle il rend hommage à 18 soldats inconnus durant la Grande Guerre. Antoine est depuis devenu un grand artiste photographe indépendant, exposé dans de nombreuses galeries parisiennes, notamment ci-dessous, au Art Paris ART FAIR le 31 mars 2013 au Grand Palais. Bravo Antoine. Mars 2013 : Art Paris Art Fair au Grand Palais. Du 28 mars au 1er avril 2013, ART PARIS ART FAIR accueille 144 galeries de 20 pays sous la nef du Grand Palais. Rendez-vous printanier pour l’art moderne et contemporain, le salon affirme son identité singulière de foire européenne orientée vers la promotion des scènes de l’Est (Europe Centrale et Orientale, Moyen-Orient et Asie) et met pour la première fois un pays à l’honneur en invitant la Russie. Une sélection renouvellée et plus internationale : Avec 74 nouvelles participations, la sélection 2013 est profondément renouvelée. Elle se distingue par une internationalisation croissante avec 20 pays représentés (contre 16 en 2012) et 43% de participation étrangère. De nouveaux pays font leur entrée comme les Emirats Arabes Unis, la Bosnie-Herzégovine, la Slovénie et la Russie avec une représentation inédite de 10 galeries. Sur 144 galeries en 2013, 35 sont des galeries qui participent régulièrement à Art Paris. En nombre de galeries, ART PARIS ART FAIR revient à son niveau de référence de 2009. Parmi les nouvelles participations, on note l’arrivée de Laurent Delaye Gallery (Londres), Michel Soskine (Madrid), Heino Gallery (Helsinki), Tanit (Munich), Bodson-Emelinckx Gallery (Bruxelles),Várfok Gallery (Budapest), Sem Art Gallery (Monaco), Mimmo Scognamiglio (Milan) et Galleria Giuseppe Pero (ex 1 000 Eventi de Milan). En ce qui concerne la France, ART PARIS ART FAIR se réjouit du retour des galeries Christophe Gaillard, Suzanne Tarasiève, Christian Berst, Claude Lemand et Farideh Cadot ainsi que des premières participations de Pièce Unique, d’Anne deVillepoix, de la galerie Maeght et de Fleury pour la partie moderne. *************************************************************** Antoine au Salon de la Photo en 2017. |
2017-10-09 Paolo Roversi Le Prix Picto de la photo de mode Le Prix Picto de la photo de mode 2017 au Palais Galliera avec Paolo Roversi en présence de Philippe Gassman, président de Picto Foundation et Olivier Saillars, directeur du Palais Gallieria. Paolo Roversi (né en 1947 à Ravenne, en Émilie-Romagne) est un photographe de mode et portraitiste italien vivant à Paris. Il apprend la photographie en autodidacte lorsqu'il est enfant, puis va se perfectionner chez un photographe local. Adolescent, il est porté vers la littérature et la poésie de Pétrarque, Leopardi et Eugenio Montale ainsi que celle d'autres auteurs comme Kerouac et Ginsberg qu'il rencontre. En 1968, étudiant à Bologne, il suit les cours d'Umberto Eco et y ouvre un studio de prise de vues dans une cave2. Il collabore alors avec l'Associated Press puis s'installe à Paris sur les conseils de Peter Knapp, directeur artistique de Elle. Arrivé à l'hôtel, il ouvre son studio parisien dans un immeuble cubiste des années 1930. Il travaille pour l'agence Huppert puis devient l'assistant de Lawrence Sackman. Paolo Roversi choisit de devenir photographe indépendant ; il sera alors publié par Elle, Depeche Mode, Marie Claire, le British Vogue ou Vogue Italia, i-D, Interview… Petit à petit il assoit sa renommée et rencontre des grands noms de la photo : Peter Knapp, Helmut Newton, Guy Bourdin… La renommée arrive au début des années 1980 avec l'adoption d'un outil, le dos Polaroid de format 20 × 25, « qui révèle l'image comme par magie après une minute », mais qui trois décennies plus tard disparaît peu à peu de sa technique. Vers la même période, une campagne publicitaire pour Dior ainsi que des images pour Yohji Yamamoto ou Rei Kawakubo vont asseoir sa renommée. Tous les grands magazines le publient, mais ses photos sont aussi accrochées à la galerie Pace-MacGill, l'une des plus importantes de New York. Il a photographié la plupart des grands mannequins du xxe siècle, dont Isabella Rossellini, Kate Moss, Laetitia Casta, ou Natalia Vodianova. Il est exposé en 2008 aux Rencontres d'Arles. Une projection de son travail eu lieu au Théâtre antique, dans le cadre de la soirée Mano à Mano avec Peter Lindbergh. Se définissant comme un « photographe lent », élégant, parlant couramment français, il appartient au carré des photographes de mode les plus connus au monde mais est également un photographe de nu. Natalia Vodianova. Photo de Paolo Roversi. Natalia Mikhailovna Vodianova, née à Gorki, est un mannequin et actrice russe, née le 28 février 1982. Issue d'une famille pauvre, elle fait ses débuts en tant que mannequin vers l'âge de dix-sept ans. Souvent photographiée par Mario Testino, ou encore par le duo Mert and Marcus, elle apparaît dans de multiples magazines de mode, dont de nombreuses éditions internationales de Vogue. Natalia Vodianova est également connue pour être l'épouse d'Antoine Arnault. A 15 ans, elle s'inscrit dans une école locale de mannequinat, et commence à rechercher des contrats. Un agent de mode lui dit alors qu'elle s'assurerait un avenir brillant en apprenant l'anglais en trois mois. Convaincue qu'elle pourrait améliorer sa vie ainsi, elle apprend l'anglais rapidement, s'installe à Paris, et signe un contrat avec l'agence française Viva à 17 ans. Quelques semaines après la naissance de son premier enfant, elle ouvre le défilé prêt-à-porter de la marque Yves Saint Laurent, et devient alors incontournable3. Rapidement, les campagnes s’enchaînent : Vuitton par Mert and Marcus, les parfums Gucci par Mario Testino. Elle apparaît pour la première fois en couverture du magazine Vogue Teen américain en 2001. Elle pose ensuite pour sa première campagne publicitaire Calvin Klein (collection Printemps/Été 2003), et signe un contrat d'exclusivité avec cette même marque en 2004; succédant ainsi à Kate Moss, Christy Turlington et Brooke Shields. En juillet 2003, elle devient le nouveau visage de L'Oréal. En 2010, elle est photographiée par Paolo Roversi, Peter Lindbergh ou encore par Patrick Demarchelier. Entre 2011 et 2012, son revenu annuel est estimé à 8,6 millions de dollars. |
Le 01 décembre 2018 : L'expo Les Nadar à La BNF. Les trois hommes, dont l’oeuvre est exposée au public pour la première fois, ont défini l’art du portrait photographique entre 1850 et 1939. Les Nadar ? Parce qu’ils sont trois. C’est la première exposition consacrée à ce trio de photographes, qui a régné sur son art de 1850 à 1939. Un, il y a Félix Tournachon, dit Nadar, le pionnier hirsute à la barbe rousse, qui lance la dynastie comme caricaturiste. Ami de la nouveauté, il s’entiche de la photographie comme des vols en ballon. Il réalise les premières prises de vue aériennes et ouvre son atelier. Deux, il y a Adrien, le frère cadet, talentueux mais souvent éclipsé par son rival d’aîné. Épris de peinture, il œuvre pour que la photographie soit enfin reconnue comme un art, elle trop longtemps réduite au périmètre scientifique ou à l’objet de foire. Trois, il y a Paul, le fils de Félix, l’héritier né dans le bain photographique. Il reprend le flambeau de l’affaire. Comme Félix, il invente des techniques et promeut son studio par de célèbres collaborations. Photo : 1864 © Gaspart Félix Tournachon, dit Nadar. Epreuve sur papier albuminé d'après un négatif sur verre au collodion. Sarah Bernhardt n’était encore qu’une jeune actrice lorsque Nadar fit d’elle une série de portraits en 1864. Installé à cette époque boulevard des Capucines, le photographe était déjà passé au stade de la production industrielle, et les portraits de cette qualité se faisaient plus rares.
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2017-10-09 Dédicace et découverte de "Ballenesque" au Leica Store Paris signée Roger Ballen Roger Ballen (born in New York City, New York, United States, 1950) is an American photographer living in Johannesburg, South Africa, and working in its surrounds since the 1970s. His body of work, developed over a period of four decades, began in the documentary field but his approach has widened to allow for a fictionalised visual dialogue between individuals, their architectural space, found objects and domesticated animals. His approach has been hailed as among the most unusual and exciting developments in contemporary photography. While Ballen's work is often described as "dark", he describes his photography as essentially psychological, and speaks of the images referring to humanity's "shadow side". He say: "Shadow is better than dark, because dark for a lot of people connotates evil, and I always say it’s just the opposite. [...] The pictures shouldn’t be seen as dark, and I’m not quite clear what is ‘dark’, anyway." Critics have written about Ballen’s shift from depictions of the everyday to the creation of tableaux vivants noting that the dramatic arrangement has defied conventions of documentary photography. In his preface to the second edition of Outland, art historian and curator Peter Weiermair has noted that Ballen’s move from the objective and representational to collaboration with his subjects has meant that he has forsaken the critical role as chronicler of events in favour of allowing his figures to become "protagonists in an existential drama". In earlier works these were individuals experiencing the dissolution of one order in South Africa in place of another; in the process they retreated to hidden territories explored by Ballen. Weiermair notes that the game of showing and seeing, involving model and photographer, is rendered irrelevant, while Didi Bozzini writes that the relation between Ballen and his subjects is disruptive of the laziness of our everyday gaze. According to Weiermair, it is the archetypal character of the images that "touches our subconscious", yet it is also through the conventions of black and white photography, outsider art and theatre of the absurd that we comprehend the interiority of Ballen’s landscapes. His practice has however been extended to include video and conceptual installations, allowing the photographic medium to be used to push the camera even further from its traditional role of "recording or capturing the real" while retaining its use as provocateur for an examination of all that is human, to paraphrase critic Robert J. C. Young. |
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29 juillet 2017 : La légende National Geographic au Jardin des Plantes. Le Muséum national d'Histoire naturelle accueille le mythique magazine National Geographic dans sa Galerie de Minéralogie et de Géologie pour une vaste exposition de photographies, à découvrir du 3 mai au 18 septembre 2017. Plus de 100 photographies seront présentées accompagnées par la projection de 6 vidéos inédites, dans un cadre d'exception. Cette exposition doit aussi permettre de découvrir ou redécouvrir les valeurs que porte National Geographic, cette volonté de faire avancer la connaissance et de la transmettre depuis plus d’un siècle. Un siècle d’exploit, d’exploration, de science, d’aventures humaines ou animales. Une exposition qui fait alterner de grands moments d’émotion avec de vraies sensations d’immersion La photo exposée est de Steve McCurry, photographe US dont j'ai admiré l'expo au Musée Maillolle 29 jan 2022. Photo de David Doubillet David Doubilet (1946- ) est un photographe sous-marin bien connu, principalement connu pour son travail publié dans le National Geographic Magazine où il est photographe et auteur de 70 articles de fond depuis 1971. Il est né à New York et a commencé à prendre des photos sous l'eau au jeune de 12 ans. |
15 juillet 2017 : L'expo du photographe Walker Evans au Centre Pompidou. Walker Evans, né le 3 novembre 1903 à Saint-Louis, Missouri, et mort le 10 avril 1975, à New Haven, Connecticut, est un photographe américain. Figure majeure de la photographie américaine du xxe siècle, Walker Evans conservera de sa vocation littéraire le souci d'un regard attentif sur les villes et sur ceux qui y vivent. Par sa portée humaniste et documentaire, l'œuvre qui marque très tôt sa différence avec les courants contemporains saura influencer toute une génération. En 1935, Walker Evans part en mission et rapporte des photographies s'inscrivant dans la lignée de ses précédents travaux. Prises à la Chambre photographique, d'une impeccable précision, elles s'attachent à l'architecture vernaculaire, aux intérieurs, aux pancartes et aux affiches autant qu'aux problèmes directement traités par la FSA. Son impact dépasse l'influence stylistique individuelle et s'étend désormais à la conception même du projet de la FSA, s'agissant en particulier de l'élargissement thématique de l'ensemble du traitement des seuls problèmes agricoles vers un projet de documentation visant l'ensemble de la société et de la culture vernaculaire. Je rentre dans la photo. Sacs rouges. |
Le 28 novembre 2015 : expo Lucien Clergue au Grand Palais Exposition Lucien Clergue du 13 novembre 2015 au 10 février 2016 dans les Galeries Nationales du Grand Palais. J'avais rencontré Lucien Clergue des années auparavant, en 1999. Depuis mes 20 ans, ses livres "La Camargue" et "Née de la vague" m'ont beaucoup impressionné. Lucien Clergue, né le 14 août 1934 à Arles et mort le 15 novembre 2014 à Nîmes, est un photographe français. En 1949, il apprend les rudiments de la photographie. En 1953, lors d'une corrida aux arènes d'Arles, il force le destin en mettant ses photos sous le nez de Pablo Picasso. Celui-ci est subjugué et demande à en voir d'autres. Pendant un an et demi, le jeune Clergue travaille dans le but d'envoyer des photos à Picasso et de nourrir sa curiosité. C'est durant cette période que parallèlement aux « charognes », il crée la série des « Saltimbanques » ou « La grande récréation ». Le 4 novembre 1955, pour la première fois, Lucien Clergue se rend à Cannes chez Picasso qui le reçoit à bras ouverts. Leur amitié durera près de trente ans, jusqu'à la mort du Maître en 1973. Le livre Picasso mon ami (Éditions Plume) retrace les moments importants de leur relation. Dès 1968, il fonde avec son ami Jean-Maurice Rouquette, conservateur des Musées d'Arles et l'écrivain Michel Tournier les premiers éléments des Rencontres Internationales de la Photographie qui deviendront les Rencontres d'Arles et se tiennent chaque année à Arles au mois de juillet. Il invite à Arles les photographes les plus célèbres des États-Unis (Ansel Adams, André Kertesz, Robert Mapplethorpe…), du Japon (Eikoh Hosoe)… Ils donneront les premiers « ateliers de photo » à Arles. Lucien Clergue a œuvré sans cesse pour la reconnaissance de la photographie comme un art à part entière au même titre que la peinture, la gravure ou la sculpture. Il y parviendra en la faisant inscrire en tant que tellle au Ministère de la Culture, puis en contribuant à la création de l'École Nationale Supérieure de la Photographie à Arles en 1982.... |
Considéré comme un pionnier de la photographie, il crée une nouvelle forme de réalisme en redéfinissant les canons de la beauté grâce à des images intemporelles marquées par l’influence de photographes documentaires, de photographes ambulants et de photojournalistes comme Dorothea Lange, Henri Cartier-Bresson et Garry Winogrand. En 1988, la série de Lindbergh montrant des mannequins qu’il vient de découvrir, toutes vêtues de chemises blanches, a un immense succès international et lance la carrière de cette nouvelle génération de top-modèles. L’année suivante, il photographie Linda Evangelista, Naomi Campbell, Tatjana Patitz, Cindy Crawford et Christy Turlington pour la couverture de l’édition de janvier 1990 du Vogue britannique, qui passera à l’histoire; c’est la première fois que ces icônes de la mode sont réunies sur une photo. Lindbergh est ainsi à l’origine de ce que l’on appelle l’ère des « supermodels »; en effet, George Michael, s’inspirant de cette fameuse couverture, demande aux mannequins immortalisées par Lindbergh de jouer dans le vidéoclip de sa chanson « Freedom '909 »; à peu près au même moment, le couturier italien Gianni Versace fait défiler les nouvelles supermodèles lors de la présentation de sa collection automne-hiver 1991. Dans une entrevue avec l’historienne de l’art Charlotte Cotton réalisée en 2008, Peter Lindbergh explique : « Il était très important de recourir à la photographie en noir et blanc pour créer le supermodèle. Chaque fois que j’essayais de photographier ces sujets en couleurs, le résultat avait l’air d’une mauvaise publicité de produits cosmétiques, parce que la beauté de ces femmes frôlait la perfection. Avec le noir et blanc, on peut vraiment voir qui elles sont. J’ai estompé l’effet commercial que la couleur donne. Ce qui est frappant avec le noir et blanc, c’est à quel point cette technique aide vraiment à communiquer une impression de réalité. »
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02 mars 2014 : Henri Cartier-Bresson, l'exposition phénomène au Centre Pompidou. Dix ans seulement après sa disparition, plus de cinq cents photographies et documents personnels sont réunis pour rendre compte du parcours et de toutes les réalisations de "l'Oeil du XXe siècle". Deux heures de queue, mais cela vaut la peine Photo by Henri Cartier-Bresson |
30 novembre 2014 : Expo Reza au Petit Palais
L’Exposition Azerbaïdjan, l’Élégance du feu est le regard de REZA sur un peuple à la culture ancestrale en plein évolution qui se tourne vers la modernité : des scènes de vie, des portraits, des regards, des paysages, des panoramas de villes inédits offrent la part moins connue de ce pays situé dans le Caucase, entre l’Europe et l’Asie. Cette exposition est présentée à l’occasion de la publication de L'Elégance du feu.
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13 février 2016 : Expo Bettina Rheims à La Maison Européenne de la photographie. Si c'était moi qui publiait cela, on me traiterait de pornographe. 5 novembre 2015, au Salon de la Photo, à Paris, Rencontre avec Bettina Rheims, célèbre photographe et Jean-Luc Monterosso, directeur de la Maison européenne de la photographie. Bettina Rheims est née le 18 décembre 1952 à Neuilly-sur-Seine. Son père, Maurice Rheims est membre de l’Académie Française tout en exerçant la profession de commissaire-priseur. Sa sœur Nathalie Rheims est productrice. Elle a eu un enfant avec le romancier Serge Bramly en 1980, mais est actuellement mariée à Jean-Michel Darrois, un avocat. Elle est également apparentée à la famille Rothschild, par son arrière-grand-père. Bettina Rheims a été mannequin, puis journaliste, ensuite propriétaire d’une galerie avant de devenir photographe à part entière. La carrière de photographe de Bettina Rheims démarre en 1978. Elle réalise cette année-là une série sur un groupe de strip-teaseuses qui donnera lieu à ses premières expositions. Ce travail révèle le sujet de prédilection de Bettina Rheims, le modèle féminin, auquel elle reviendra fréquemment durant sa carrière. Nus explicites en pleine lumière, très vulgaires, pornographiques diront certains. Pièces aux murs défraîchis, papiers peints passés, mais dans son fond s’attache à mettre en scène des modèles non professionnelles pour jouer de l’érotisme. Bettina Rheims transcende ainsi le corps pour atteindre la féminité primitive. Parallèlement, Bettina fait de multiples photographies à la demande de célèbres magazines, des spots publicitaires, des photos de mode, des jaquettes de disques, des affiches de cinéma. Parmi ces portraits les plus connus on peut notamment citer : Madonna, Catherine Deneuve, Charlotte Rampling, Carole Bouquet, Marianne Faithfull, Barbara, Kylie Minogue, Claudia Schiffer, Asia Argento. En 1989, Bettina Rheims publie un ouvrage intitulé « Female Trouble ». Plus tard, elle réalise une collection de portrait d’adolescents androgynes qu’elle baptise Modern Lovers qui est édité et exposé en France à la Maison européenne de la Photographie , puis en Grande-Bretagne et enfin aux Etats-Unis. En travaillant avec Serge Bramly, elle réalise la célèbre « Chambre Close » entre 1990 et 1992. Ce livre remporte un succès planétaire et reste à ce jour un best-seller. Parallèlement, Bettina publie le livre intitulé « Animal » ainsi qu’un ouvrage sur les transsexuels « Les Espionnes ». En 1995, Bettina Rheims est invitée par Jacques Chirac à la fin de la campagne présidentielle à travailler en coulisses à une série de clichés retraçant la dernière ligne droite de l’élection. Après l’élection, la Présidence de la République mandate Bettina Rheims pour réaliser le portrait officiel de Jacques Chirac. Jean-Luc Monterosso (né en 1947) est le fondateur et directeur de la Maison européenne de la photographie, à Paris (MEP). Diplômé en philosophie, il intègre en 1974 l'équipe de préfiguration du Centre Pompidou. En 1979, nommé délégué général de l'association Paris Audiovisuel, il crée la biennale du mois de la photo à Paris. En 1986, il fonde avec Christian Mayaud la revue La Recherche Photographique, éditée par Paris Audiovisuel et l’université Paris VIII et en confie la rédaction en chef à André Rouillé. De 1986 à 1996, il est responsable de l’Espace photo des Halles, établissement qui disparaîtra lors de l’ouverture de la Maison européenne de la photographie, en février 1996. En 2004, les villes de Berlin, Vienne, Rome et Bratislava s’associent au Mois de la Photo qui prend le nom de Mois Européen de la photographie. De 2011 à 2013, Jean-Luc Monterosso assume la direction artistique du festival de la photo méditerranéenne à Sanary-sur-Mer (Photomed). Il est directeur de la collection Les grands photographes chez Pierre Belfond, et signe chaque année depuis 2010 avec Dominique Goutard, sur Arte, l’émission Arte Vidéo Night, consacrée à la création vidéo et numérique. Un photographe a posé des questions pour faire admettre à Bettina son ignorance en technique d'éclairage, et sa méconnaissance numérique. Elle a déclaré qu'elle employait des assistants / techniciens compétents. Jean-Luc Monterosso, ami de longue date de Bettina et fin diplomate a pris la parole pour dire, avec une finesse que je n'arriverai jamais à égaler, que Bettina avait, elle, réussi sa carrière en dépit de cela et que ce photographe, lui, malgré sa maîtrise technique, non. Qui est le con là-dedans ? |
Yann Arthus Bertrand au Salon de la Photo le 14nov2014
Par Frédéric Mouchon le 23 août 2019 à 16h10 Le 3 novembre 2018 : Terra Magnifica au profit de la Fondation GoodPlanet Culturespaces s’associe à la Fondation GoodPlanet pour présenter TERRA MAGNIFICA, création originale de Yann Arthus-Bertrand pour l’Atelier des Lumières. l’Atelier des Lumières offre un voyage dans le temps et l’espace avec TERRA MAGNIFICA. Cette nouvelle création a été réalisée à partir de l’incroyable fonds d’images filmées à travers le monde, tirées notamment du film La Terre vue du Ciel, produit en 2004 par Yann Arthus-Bertrand. |
Le 13 décembre 2015 : Le Muséum d'histoire naturelle rend hommage à Robert Doisneau à travers une expo photo présentée dans la Grande Galerie de l'Evolution. Près de 130 magnifiques clichés du mythique photographe reflètent alors tout un pan du travail de reportage de Doisneau, dédié au travail des scientifiques. ROBERT DOISNEAU, UN PHOTOGRAPHE AU MUSÉUM, L'EXPOSITON À LA GRANDE GALERIE DE L'EVOLUTION Alors quand on a su qu'une exposition inédite se préparait au Muséum national, on était surexcités. Plus de 120 clichés inédits, issus de deux photo-reportages de Doisneau datant de 1942 et de 1990, cela promet de belles émotions. D'autant que le photographe a toujours eu un don pour dégager une émotion intemporelle de ses cliché. Dans les salles supérieures de la Grande Galerie de l'Evolution, face aux bêtes naturalisées des collections du Muséum national d'Histoire naturelle, cette exposition est une belle occasion de découvrir le quotidien des scientifiques du muséum, immortalisé à travers l'appareil du plus parisien des photographes du XXe siècle. La plus célèbre photo de ROBERT DOISNEAU Le couple a posé pour la photo de Robert Doisneau prise en 1950, à Paris. C’est l’image du romantisme à Paris par excellence. Un jeune couple qui s’embrasse au milieu de la foule, dans le centre de la capitale française, non loin de l’hôtel de ville. La photo mythique a été prise en 1950 par Robert Doisneau mais elle ne connaît un véritable succès que dans les années 1980, lorsqu'elle est reproduite sur des cartes postales et des posters, comme le raconte PetaPixel. |
11 août 2016 : Interview avec le photographe americain Louis Stettner de 93 ans au Centre Pompidou. Le Centre Pompidou consacre Louis Stettner, le talentueux photographe américain du 20e siècle, lors d'une exposition du 15 juin au 12 septembre 2016. On y retrouve alors de nombreuses photographies témoignant de la société du XXe siècle, en France comme aux Etats-Unis. Pour cette exposition consacrée à Louis Stettner, le Centre Pompidou met en avant les épreuves vintages que le photographe a donné à l'établissement et revient sur plus de 80 ans de création photographique. Né en 1922, Louis Stettner est l’un des derniers grands photographes américains de cette génération toujours actif à 93 ans. Considéré comme le Robert Doisneau américain, le photographe n'a cessé d'immortaliser le Paris poétique des années d’après-guerre, le New York en mouvement des années 1950, à 1970, la qualité atmosphérique des ambiances urbaines avec un style remarquable et une incomparable acuité. Influencé par Atget, Lewis Hine et encouragé par Brassaï, Willy Ronis et Doisneau, Louis Stettner fait partie des "street photograph" humanistes, qui témoignent de la société dans des photographies engagées. Cela est dû à ses fréquents allers-retours entre la France et les États-Unis : il combine alors la street photography à l’américaine et la photographie humaniste à la française. Cette exposition est l'occasion de célébrer les nombreux dons que le photographe a fait au Centre Pompidou en 2013, souhaitant que le Musée d'Art Moderne national devienne le lieu de référence pour son oeuvre ! Photo de Louis Stettner |
30 septembre 2016 : Herb Ritts à La Maison Européenne de la photographie. This photograph of the top models of the period—Stephanie Seymour, Cindy Crawford, Christy Turlington, Tatjana Patitz, and Naomi Campbell—became an emblem of the 1990s era of the supermodel. It was the atmosphere of trust that Ritts created in his studio that enabled him to convince his sitters to disrobe. "You knew you were going to look gorgeous," Cindy Crawford told an interviewer. "The way Herb Ritts photographed you was the way you wanted the world to see you." (quote from Herb Ritts: The Golden Hour, by Charles Churchward, 2010). In the 1980s, Ritts—along with his contemporaries Robert Mapplethorpe and Bruce Weber—provoked a radical change in how the nude was depicted. Mapplethorpe reinterpreted the nude in classical terms or in explicit ways calculated to shock. His photographs, regardless of their content, were presented as art. Weber's work for such clients as Calvin Klein radiated warmth and broke new ground in making male sexuality commercially appealing. Ritts's forte was his ability to analyze the body from a variety of angles and create compositions that abstracted it in ways that communicate strength and poise. Mostly working outdoors, Ritts enjoyed relating the body to the natural world. He rendered his nudes with verve and an overriding elegance that became hallmarks of his pictures. Stéphanie Seymour, Cindy Crawford, Christy Turlington, Tatjana Patitz, Naomi Capmbell in Hollywood 1989 by Herb Ritts, for Rolling Stone magazine. |
23 mai 2016 : Les 25 ans d'Enfants d'Asie au Jardin du Luxembourg. Cet événement fédérateur, simple et convivial, ouvert aux centaines de promeneurs, visiteurs et leurs familles, organisé par Michel Daviaud, avait pour objectif de faire connaître nos programmes éducatifs auprès d'un nouveau public pour sensibiliser celui-ci à la cause des enfants défavorisés d'Asie du Sud-Est, et ce à travers des ateliers participatifs autour de la culture sud-asiatique et d'un spectacle de danse traditionnelle khmère (en partenariat avec le Cabaret des Oiseaux). Michel Daviaud, grand voyageur professionnel, aventurier secret et mystérieux..Humanitaire et activités rock'n'roll ! Vouglaisien d’origine et de cœur, Michel Daviaud Beauchamp a eu une vie professionnelle extrêmement remplie, au cours de laquelle il a organisé et géré des évènements partout dans le monde. Sa vie d’après n’est pas moins riche. Il reprendra, en effet, ses pérégrinations à travers les continents, dès que le contexte sanitaire le permettra. Très engagé dans l’humanitaire (Enfants d’Asie), il pilote également des avions de tourisme. Enfin, et surtout, il publie, son troisième roman intitulé Kate en quête à Katmandou. Une histoire désenchantée, sombre et mélancolique, auréolée d’humanisme et de tolérance. Kate, l’héroïne, tisse des liens amoureux et capricieux avec plusieurs personnages qui l’entraînent dans diverses aventures aux quatre coins de la terre, dont l’Himalaya. L’écriture est belle, le récit captivant, les personnages attachants. Un road trip amoureux, une quête de soi, une lecture qui ne s’arrête pas. Le frère de Michel Daviaud. |
13 octobre 2016 : Rencontre avec Raymond Depardon pour la sortie de son film "Les Habitants". Merci à William pour la photo. J'ai rencontré Raymond Depardon en 1994 lors de la création de l'Atelier Fournier-Schneck. Antoine Schneck et moi-même louions un garage comme studio photo, dans la cour de Raymond, Rue Henri Barbusse, 75013. Raymond Depardon est un photographe, réalisateur, journaliste et scénariste français. Considéré comme l'un des maîtres du film documentaire, il a créé l'agence photographique Gamma en 1966 et est membre de Magnum Photos depuis 1979. Photo de Raymond Depardon.
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janvier 2014 : Exposition GENESIS de SEBASTIÃO SALGADO à la MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE L’exposition, composée de près de 240 photographies, est divisée en cinq sections géographiques, formes de miroirs du fonctionnement de la nature : le Sud de la planète, les sanctuaires naturels, l’Afrique, le Nord de la planète et l’Amazonie. Ces images parcourent également le monde et sont présentées en parallèle au Musée de l’Elysée à Paris et à São Paulo, après avoir fait escale à Londres, Toronto, Rome et Rio de Janeiro. Genesis est une quête photographique à l’échelle de la planète, dans laquelle le photographe brésilien Sebastião Salgado redécouvre des lieux et des peuples qui ont échappé, jusqu’ici, à l’empreinte des sociétés modernes. Depuis 2004, il a entrepris plus de trente voyages, jusqu’aux confins du monde. Il parcourt la planète pour construire un projet photographique à long terme sur la question de l’environnement, photographiant toujours en noir et blanc. Il a navigué sur des océans, gravi des montagnes, traversé des déserts, observé des animaux et approché des peuples indigènes, dans l’idée de faire connaître leurs environnements et leurs cultures. Voyageant dans les coins les plus reculés, dans des conditions souvent difficiles, Salgado restitue la beauté de faces inconnues du monde. Il montre aussi la nécessité de préserver la planète et sa beauté, qui sont aujourd’hui en péril. « Dans Genesis, j’ai suivi le rêve romantique de vouloir retrouver – et partager – un monde primitif trop souvent invisible et hors d’atteinte. (…) Je voulais simplement montrer la nature dans sa splendeur partout où je pouvais la trouver. Je l’ai découverte dans des espaces infinis d’une diversité biologique immense qui, il faut le savoir, recouvrent pratiquement la moitié de la surface de la Terre, dans de vastes déserts en grande partie inexplorés, dans d’immenses forêts tropicales ou tempérées, et dans des chaînes de montagnes d’une beauté impressionnante. Découvrir ce monde encore intact a été l’une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. »
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Le 18 juin 2017 : Nu artistique avec Uwe Ommer dans le cadre du Forum Pro-Images au Studio Cyclone. Merci au mannequin Julia. Uwe Ommer (born 1943 in Bergisch Gladbach) is a German photographer. His books : Photedition 2. Verlag Photographie, Schaffhausen 1980, ISBN 3-7231-1000-2. Exotic. Bahia Verlag, München 1983, ISBN 3-922699-24-3. Pirelli Calendar. 1984. Black ladies. Taco, Berlin 1987, ISBN 3-89268-032-9. Erotic Photographs. Taco, Berlin 1988, ISBN 3-89268-044-2. Uwe Ommer. Benedikt Taschen Verlag, Berlin 1990, ISBN 3-89450-064-6. Noumia. Vents d'Ouest, Issy-les-Moulineaux 1994, ISBN 2-86967-309-4. Black ladies. Taschen, Cologne 1995, ISBN 3-8228-8674-2. Asian ladies. Taschen, Cologne 2000, ISBN 3-8228-7181-8. 1000 Families: das Familienalbum des Planeten Erde. Taschen, Cologne 2002, ISBN 3-8228-2264-7.[1] Transit : in 1424 Tagen um die Welt. Taschen, Cologne 2006, ISBN 978-3-8228-4653-7. Do It Yourself, with Renaud Marchand. Taschen, Cologne 2007, ISBN 3-8228-5628-2. |
12 mai 2014 : Expo Mapplethorpe au Grand Palais Robert Mapplethorpe est l’un des plus grands maîtres de la photographie d’art. C’est avec un noir et blanc extrêmement stylisé qu’il réalise portraits, nus, et natures mortes. Au-delà de la puissance érotique qui fait la célébrité de l’oeuvre de Mapplethorpe, l’exposition présente la dimension classique du travail de l’artiste et sa recherche de la perfection esthétique, à travers plus de 200 images qui couvre toute sa carrière du début des années 1970 à sa mort précoce en 1989. Cette exposition est réalisée par la RMN – GP, avec la coopération de la Fondation Robert Mapplethorpe, New York Commissaire général : Jérôme Neutres, conseiller du président de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais / Commissaires associées : Joree Adilman, conservateur de la fondation Robert Mapplethorpe, Hélène Pinet, conservatrice au Musée Rodin et Judith Benhamou-Huet, journaliste critique d’art L’exposition est réalisée grâce au mécénat d’Aurel BGC. Self portrait |
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2018-11-23 Expo JR Momentum à La Maison Européenne de la Photographie. Momentum, la mécanique de l’épreuve » est la première grande exposition de JR au sein d’une institution française. Elle rassemble notamment les premières photographies de l’artiste, des collages de format monumental de ses plus grands projets, et plusieurs installations inédites. Travaillant à la fois la photographie, le cinéma, le spectacle vivant et les arts visuels en général, JR mobilise des communautés, des quartiers et des villages entiers. Par des formats démesurément grands, il donne une voix aux anonymes. Une queue énorme à La Maison Européenne de la Photographie, mais cela valait la peine. Frédérique et moi-même faisons partie de la gigantesque fresque/vidéo. Pouvez-vous nous trouver ? JR x TIME = GUN CONTROL The Gun Chronicles: A story of America In association with a special edition of TIME Magazine, artist JR (JR Artist) ABOUT THE PROJECT THE LIVE MURAL Individuals were filmed in slow motion interacting with someone else in the mural, On a broader level, the live mural will be projected all around the country Learn more about the event here: time.com/Guns-in-America |
2018-12-09 Sebastiao Salgado Expo au Trocadero. Expo "DÉCLARATIONS". EXPOSITION PHOTO SEBASTIÃO SALGADO AU MUSEE DE L'HOMME à Paris. Pour cette exposition, les photographies de Sebastião Salgado illustrent certains des articles de la déclaration, tels que le droit à l’asile, à la liberté de pensée, de conscience et de religion, le droit au travail, et d’autres encore. Des articles qui font particulièrement échos aux valeurs humanistes portées par le Musée depuis sa création en 1937 et que le photographe illustre en portant un regard rétrospectif sur son œuvre. |
2019-10 Il était une fois Sergio Leone à la cinématèque de Paris |
2019-03-31 JR au Louvre J'ai photographié une des oeuvre de JR le 28 mai 2016 : L'artiste fait disparaitre la Pyramide du Louvre et ne demande pas de droit à l'image. Cela n'était pas arrivée depuis 1989 ! Le 20 juillet 1969, à 20h17 (UTC, temps universel), le module lunaire Eagle se posait sur la Lune. |
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2019-11-08 Expo Un voyage dans l'univers sur les grilles des Jardin du Luxembourg et Jardin de l'observatoire, à côté de chez moi. Une autre belle expo sur les grilles du Jardin de l'Observatoire, à côté de chez moi. |
Le 03 octobre 2020 : Sarah Moon à La Chambre Claire Sarah Moon, née Marielle Sarah Warin le 17 novembre 1941 à Vernon (Eure) est un mannequin et photographe français. Marielle Warin naît dans une famille juive contrainte à quitter la France occupée. |
2121-01-08 Robert Schall à la Galerie Argentic Photographe de l’entre-deux guerres, contemporain de Brassaï, Roger Schall a excellé tant dans le photo-reportage, dont il fut l’un des pionniers, que dans la mode ou le portrait. Au début des années 1930, la « révolution » Leica et Rolleiflex lui permet de satisfaire sa passion de l’image prise sur le vif. Paris constituera son terrain d’exploration privilégié, et la nuit lui permettra de saisir et de révéler avec force et sensibilité les contours si particuliers d’une ville faite de contrastes. |
Visite de l'agence Roger-Viollet le 20 jan 2021 Les amateurs de photos et les passionnés de Paris connaissent bien ce nom : Roger-Viollet. Cette agence de photo du siècle dernier, du nom de sa fondatrice Hélène Roger-Viollet, est une référence internationale dans le secteur de l’archive photographique. Ses photographes ont pris plus de 6 millions de clichés sur de nombreux thèmes et l'agence a renforcé son fonds photographique grâce à des partenariats avec les plus grandes agences d’archives mondiales, des fonds de photographes indépendants français et étrangers, et celui du quotidien France-Soir ! Négociations pour des publicitaires, partenariats avec la presse, et maintenant, vente de reproduction au grand public. Oui, oui, car si le fonds photographique appartient à la Ville de Paris, une entreprise, Photononstop (fondée par Gilles Taquet, président du Syndicat national des agences photographiques) a repris l'exploitation commerciale du fonds en 2019. Grands évènements, personnalités, politique, société, mode, culture, beaux-arts ou vues géographiques, Paris… Roger-Viollet, c'est 150 ans de photographies...
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2021-03-03 : Expo Globe Trotters : Les opérateurs d'Albert Kahn 1909-1930 au Parc de Sceaux. Turquie, Alasehir, habitant réfugié dans un arbre creux, janvier 1923 Archives de la Planète/Frédéric Gadmer Apparition fantomatique dans les ruines de la guerre gréco-turque qui lança, de 1919 à 1922, l’Empire ottoman étant défait, les nationalistes turcs de Mustafa Kemal à l’assaut des territoires cédés à la Grèce à la fin de la Première Guerre mondiale. Guerres balkaniques, guerres éternelles. Seul dans les ruines de sa maison détruite, un habitant trouve protection dans un arbre creux qu’il aménage comme il peut. Réfugié précaire, ou bien ermite saisi dans sa méditation ? En communion avec l’arbre et la nature ravagée mais résiliente, à mille lieues mystiques de la violence des hommes qui détruit ses propres œuvres et sa propre chair ? D’une modernité saisissante, la prise de vue pourrait bien un siècle plus tard concourir parmi n’importe quel reportage de guerre pour le prix Pulitzer. Thrace, Andrinople (Turquie, Edirne), émigrants dans un wagon de marchandises, novembre 1922 Archives de la Planète/Frédéric Gadmer Octobre 1922, l’armistice de Moudanya signe la fin de la guerre opposant, depuis 1919, la Grèce aux Turcs de Mustafa Kemal, lesquels obtiennent dans la victoire le droit d’occuper la Thrace orientale. En novembre, ce sont plusieurs centaines de milliers de Grecs, de Bulgares et d’Arméniens qui fuient la région frontalière. Le célèbre Ernest Hemingway ainsi que l’écrivain arménien Hagop Aghassian, rescapé des déportations de 1915, sont à Andrinople et assistent à la « migration forcée » des populations à pied, en charrettes ou dans des wagons verrouillés, par ce que l’historien Philippe Ariès appellera une « monstrueuse invasion de l’homme par l’histoire ». L’image nous gifle aujourd’hui avec une violence à couper le souffle, nous qui croyions en avoir fini avec les génocides et les déportations, et refusons de voir que nous avions tort. Canada, Winnipeg, Main Street, avril 1926 Archives de la Planète/Frédéric Gadmer Un peu plus à l’Est, dans le Manitoba. Dans dix ans, Hergé utilisera l’exotisme du nom pour un album de Jo, Zette et Jocko, mais là, c’est à l’album Tintin en Amérique que l’on pense, dont la documentation commence à être constituée par Hergé dans ces années-là. Nous ne sommes pas à Chicago, mais à Winnipeg, métropole infiniment moins peuplée, mais toute la modernité du continent américain est bien présente, les immeubles qui s’élèvent vers le ciel, les magasins, les banques nationales, jusqu’à l’alignement, prémonitoire de la civilisation qui s’ouvre, des automobiles. Le célèbre modèle « T » de M. Henry Ford, produit universel à deux millions d’exemplaires, que tout le monde pouvait avoir dans la couleur qu’il souhaitait, à condition que ce soit le noir… Chine, Moukden, la rue des bijoutiers, mai-juin 1912 Archives de la Planète/Stéphane Passet Comme saisi dans une case des Aventures de Tintin, reporter, en Extrême-Orient – autrement dit Le Lotus bleu – Moukden, aujourd’hui Shenyang, est le siège des seigneurs de guerre mandchous. Sept ans plus tôt, en 1905, c’est ici que se déroule l’une des plus sanglantes batailles de la guerre russo-japonaise pour le contrôle de la Mandchourie et de la Corée, provoquant des dizaines de milliers de morts de part et d’autre. Dans moins de vingt ans, en 1931, l’incident de Moukden – un « vrai faux attentat » contre les intérêts d’une société de chemin de fer japonaise – servira de prétexte et de point de départ à l’expansionnisme impérialiste du Japon en Extrême-Orient. En attendant, le temps a repris son allure paisible dans la rue des bijoutiers de la ville intérieure. Indes, Ahmadabad, officiant au temple jaïn Hathi Singh, décembre 1913 Archives de la Planète/Stéphane Passet Les trois joyaux des Indes : le jaïnisme et la compassion. Détaché de l’hindouisme il y a trois millénaires, le jaïnisme est une religion sans dieu, une aspiration vers l’illumination (nirvana), qui seule mettra fin au cycle des réincarnations successives (samsara). La vie est sacrée, la non-violence un principe absolu. La mission des jaïns envers la nature, qui pour l’Occidental pourrait bien évoquer celle des franciscains, sonne de manière très particulière dans le monde d’aujourd’hui. À la beauté intérieure répond la splendeur de leurs temples de marbre, la plus noble des matières, celle qui fait sonner l’âme humaine. La dentelle des bas-reliefs s’apparente à ceux d’Angkor, jaillis en Asie du Sud-Est du même creuset indien. Irak, Samarra, le Malwiya, minaret de la grande mosquée, mai 1927 Archives de la Planète/Frédéric Gadmer Les cités perdues, deuxième… Samarra, surra man ra’a – « celui qui l’aperçoit est heureux ». Datée du milieu du IXe siècle, la grande mosquée demeure la plus importante réalisation des califes abbassides dans l’éphémère capitale Samarra, bientôt supplantée par Bagdad. Rare exemple préservé d’une architecture hélicoïdale, son minaret, le Malwiya, semble venir des ziggourats d’Uruk et de Sumer en Mésopotamie, et s’élever jusqu’au ciel comme une tour de Babel conservée dans les sables. Il en inspira d’ailleurs la représentation par les artistes européens, à commencer par celle de Brueghel l’Ancien au XVIe siècle. Cité oubliée, retrouvée, puis en perdition à cause des attentats et des destructions qu’elle subit entre 2005 et 2007, son site semble depuis protégé par son inscription au patrimoine mondial de l’Unesco. Égypte, marchand de poterie dans le vieux Caire, janvier-février 1914 Archives de la Planète/Auguste Léon Officiellement ottomane, l’Égypte du Caire est sous occupation anglaise de 1880 à son indépendance en 1922. Elle devient en 1914 un protectorat britannique. En une génération, la population sera multipliée par trois, la surface urbaine par dix. Le vieux Caire tortueux remonte parfois à l’occupation romaine ; avec les souks millénaires et les plus anciens monuments islamiques et coptes, il murmure encore ses secrets de potiers et de marchands à l’oreille du Caire moderne, gagné sur des terres asséchées, construit sur des droites orthogonales dans l’esprit rationnel du baron Haussmann à Paris. Les poteries fragiles, foisonnantes, échappent encore au rangement cartésien des vitrines européennes, c’est tout un imaginaire inchangé depuis le néolithique, « le pays des énigmes et des mystères » de Gérard de Nerval. Les docks vus du pont de Londres, juin 1924 Archives de la Planète/Roger Dumas Au fond, le Tower Bridge, construit sur la Tamise en 1894, est alors le plus grand pont suspendu du monde. Londres, avec 7,5 millions d’habitants, dispute à New York le titre de ville la plus peuplée et demeure, un temps encore, le plus grand port planétaire. Le tour du monde commence ici, Upper Pool of London, des kilomètres de quais où s’agrègent des centaines de barges et quelques navires à vapeur en partance vers le nord. La densité y est telle que la légende veut qu’on puisse traverser le fleuve à pied sec, de bateau en bateau, comme Moriarty fuyant devant Sherlock Holmes. Nous voilà au point de départ d’une enquête sur l’état d’un monde partagé entre l’histoire et la modernité. 2021-03-18 Expo photos sous-marines Alexis Rosenfeld à la Gare de Lyon |
2021-03-27 Expo New Lens New Land sur les grilles de la tour Saint-Jacques. |
2 juin 2015 :
Conférence de presse au Centre culturel du Japon avec BBGR et
Nikon Verres Optiques, en présence de M. Ishitoya San,
président de la Joint-Venture Nikon-Essilor (Tokyo, Japon),
Olivier Chupin, directeur marketing de la Joint-Venture
Nikon-Essilor (Tokyo, Japon), et Valérie Pierre, directrice
Générale de la division Image de Nikon France, Belgique et
Luxembourg Christophe Chebac, président de BBGR |
2021-03-31 Art du Commun, Place Georges Moustaki 2021-04-02 La voix des témoins, allée des justes de la nation |
Culturespaces s’associe au Centre National d’Études Spatiales (CNES) pour présenter lors de soirées exceptionnelles DESTINATION COSMOS, une création originale pour l’Atelier des Lumières. Des premiers peuples à avoir observé les étoiles en passant par l’alunissage d’Apollo 11, l’envie de découverte spatiale de l’humanité ne cesse de croître. Cette exposition vous plonge dans un dédale d’étoiles, de planètes, nébuleuses et supernova. Un voyage unique qui débute au coeur de la forêt tropicale guyanaise et prend fin aux confins de l’univers. Après avoir quitté la terre, vous êtes invités à sillonner les canyons martiens aux côtés des rovers (véhicule conçu pour explorer la surface d’un corps céleste), plonger au coeur de Jupiter, survoler les anneaux de Saturne puis dépasser les frontières de notre système solaire afin d’explorer l’immensité de notre univers. Totalement immergé dans l’image et la musique, laissez-vous emporter dans une aventure spatiale inédite ! Conception et animation : Spectre Lab |
Le 29 oct 2021 : Expo à la Philharmonie de Paris : pendant six ans, Sebastião Salgado a sillonné l’Amazonie brésilienne, photographiant la forêt, les fleuves, les montagnes, les peuples qui y vivent. S’installant plusieurs semaines au sein des villages, il a ainsi photographié onze groupes ethniques. Cet univers profond, où l’immense pouvoir de la nature est ressenti comme dans peu d’endroits sur la planète, a imprimé dans l’œil du photographe des images saisissantes, dévoilées pour la première fois au public. J'ai rencontré Sebastião Salgado au Salon de la photo à Paris en 2017. |
Le 4 octobre 2021, Frédérique et moi avons assisté à une séance privée de la projection du film : "A LA RECHERCHE DE VIVIAN MAIER" Nous avons aussi réservé nos places pour son exposition au Musée du Jardin du Luxembourg le 23 Oct 2021. SYNOPSIS : L’incroyable histoire d’une mystérieuse inconnue, photographe reconnue aujourd’hui comme l’une des plus grandes Street Photographers du XXe siècle. Née à New York, d’une mère française, avant de résider à Chicago, Vivian Maier était inséparable de son Rolleiflex et prit tout au long de son existence plus de 100 000 photographies sans jamais les montrer. Pour être libre d’exercer son art quand elle le voulait, Vivian Maier fut une nanny excentrique toute sa vie. Cachées dans un garde-meuble, c’est par hasard que John Maloof mit la main sur les photos de Vivian Maier en 2007. Depuis, il n’a cessé de chercher à mettre en lumière son travail et les expositions se multiplient partout dans le monde. Merci 0Frédérique Gorsky pour la pause. Le chapeau aussi Man Ray Vivian Maier, née le 1er février 1926 à New York d’une mère française et d’un père d’ascendance autrichienne et morte le 21 avril 2009 à Chicago, est durant sa vie une nounou tout en étant parallèlement une photographe de rue amateur, prolifique et talentueuse, friande d'autoportraits, qui n’a jamais dévoilé sa production artistique de son vivant. Ses dizaines de milliers de clichés, pris principalement à New York et à Chicago, mais aussi à travers le monde, dont une majorité de négatifs non développés, ont été découverts après sa mort, faisant d’elle une artiste célèbre. Sitôt son œuvre rendue publique grâce aux collectionneurs américains qui l’ont découverte, la reconnaissance posthume, populaire et critique du travail de Vivian Maier a rapidement suivi et, depuis lors, ses photos ont été exposées en Amérique du Nord, en Asie et en Europe, tandis que sa vie est l’objet d’ouvrages littéraires et de documentaires filmés. La vie de Vivian Maier a été reconstituée par John Maloof qui a recherché les témoins de son existence aux États-Unis en retrouvant notamment les familles auprès desquelles elle a vécu. La partie française de sa biographie a été reconstituée grâce aux travaux de l’Association Vivian Maier et le Champsaur, qui a procédé aux mêmes recherches de témoins de sa vie dans le Champsaur, la vallée d’origine de sa famille maternelle, dans les Hautes-Alpes en France. À la fin de l’année 2007, une partie des biens de Vivian Maier sont mis aux enchères. Hospitalisée, elle ne peut plus payer la location du box qu’elle utilise pour les stocker. Trois chineurs acquièrent ses biens via le commissaire-priseur Roger Gunderson : Randy Prow, John Maloof et Ron Slattery. |
4 juillet 2013 : Robert Clark, photographe au National Géographique, lors de la conférence Samsung |
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2014-03-06 : Un siécle de photographie de mode chez Condé Nast "Papier Glacé" au Palais Galliera. Élégance et séduction, excellence et sens artistique font l’esprit Condé Nast. Depuis un siècle, le groupe de presse - éditeur des magazines Vogue, Vanity Fair, Glamour ou W - joue un rôle déterminant dans le domaine de la photographie de mode. Entre autres : Arbus, Diane (1923-1971); Bailey, David (1938-); Demarchelier, Patrick (né en 1943); Horst, Horst P., ( Lindbergh, Peter (1944-); Moon, Sarah (1941-); Newton, Helmut (1910-2004); Penn, Irving (1917-2009); Ray, Man (1890-1976); Ritts, Herb (1952-2002); Roversi, Paolo (1947-); Steichen, Edward (1879-1973); Stern, Bert (né en 1929); Weber, Bruce (1946-). |
Le 27 dec 2008 : expo Demarchelier "Images et Mode" au Petit Palais. Du 27 septembre 2008 au 4 janvier 2009, le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, accueille une riche et significative sélection de 400 photographies de Patrick Demarchelier. Le Petit Palais, une philosophie artistique… |
2004-10-24 Salon Paris Erotica au domaine du Parc de la Jonchère |
2001-12-20 Les sapins de Noël des Créateurs à l'Espace Cardin |
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Festival de Cannes en mai 1998 pour Studio Magazine avec Jean Reno, Johny Hallyday, etc. |
51e Festival de Cannes Martin Scorsese, président du jury 1998. Palme d'or (à l'unanimité) : L'Éternité et Un Jour de Theo Angelopoulos Grand prix : La vie est belle de Roberto Benigni Prix d'interprétation féminine (ex æquo) : Élodie Bouchez et Natacha Régnier pour La Vie rêvée des anges Prix d'interprétation masculine (à l'unanimité) : Peter Mullan pour My Name Is Joe Prix de la mise en scène : John Boorman pour Le Général Prix du meilleur scénario : Hal Hartley pour Henry Fool Prix du jury (ex æquo) : La Classe de neige de Claude Miller et Festen de Thomas Vinterberg Prix de la meilleure contribution artistique au Festival International du Film : Velvet Goldmine de Todd Haynes Grand Prix de la commission Supérieure technique : Vittorio Storaro pour la photographie Tango de Carlos Saura Caméra d'or : Slam de Marc Levin Comme j'ai dû, à cette époque, donner toutes mes meilleures diapositives au client, il ne me reste plus que les rejets. Cela se voit surtout sur les photos "tapis rouge" Au mouillage : Le S/S Norway, ex Paquebot France Le coin presse Marie Goujon. On shootait en diapositives, puis on les scannait A gauche le scanner Kodak, uniquement pour les accrédités Paris Match, Gala etc ... Silence, on tourne Kate Moss ou Laetitia Casta ? Kate Moss ou Laetitia Casta ? Les touristes guettent les entrées et sorties des stars. C'est la fête ! Un paparazzi Les paparazzi, ou paparazzis, sont des photographes de presse qui ont pour domaine de prédilection la vie privée des célébrités pour la presse people : en France, Closer, Gala, Paris Match, Voici, etc. Leur objectif est de faire des photos indiscrètes de peoples qui soient des scoops publiés à la une. Bon, mais là il n'y a pas besoin de grimper dans les arbres. Qui c'est qui arrive ? Personne, c'est juste une voiture vide ! On voit rien ! Plus près, c'est mieux Encore plus près, c'est encore mieux Vue du balcon du centre presse, c'est pas mal. Là, c'est parfait, mais il n'y a aucune star ! Cool le balcon du coin presse. Je repète : Comme j'ai dû, à cette époque, donner toutes mes meilleures diapositives au client, il ne me reste plus que les rejets. Cela se voit surtout sur les photos "tapis rouge" C'est le plus grand bénéfice du numérique: on peut garder ces meilleures photos ! On reconnait quand même John Travolta. Mais j'ai été couvert de bleus. Kate Moss et Laetitia Casta. J'en oublie mes bleus ! Johny Hallyday et Laeticia, Mme Hallyday. Si Johny m'a souri ! Mon stand Studio Magazine. Moi aussi, comme Martin Scorsese, j'ai mon fauteuil de directeur et mon fan club ! Il y a partout des jeunes actrices qui essaient d'attirer l'attention des directeurs de casting. Les soirées sont incroyables. J'y ai rencontré Edouard Baer avant qu'il ne soit célèbre. Il était tellement bourré qu'il m'a pris pour un fakir. Et j'étais aussi tellement bourré que je l'ai cru . Placement de produits C'est la fête ! Des journalistes du monde entier ! On s'informe déjà sur les truçages numériques Du maquillage pour gangsters Mais c'est juste du cinéma ! Studio Magazine fait sa pub, mais plutôt penchée ! C'est Godzilla ! Placement de produits Le charme a opéré ! Le charme a opéré ! Protographe, c'est presque aussi bien que metteur en scène ! Hé oui, c'est la salle du Palais des Festivals Trouver l'Alien ! Canal + a construit un stand sur la croisette Pour jouer, entre autre, la musique du Grand Bleu. Guillaume Durand et Jean-Marc Barr Philippe Vandel Le cinéma même sur la plage J'ai un très dur métier ! Bon, ce n’est pas moi qui ai fait la photo. À cette époque, il fallait faire développer pour savoir si la photo est ratée ou pas PPDA et les guignols de l'info en direct du festival. On attend une très grande star Jean Reno, né le 30 juillet 1948 à Casablanca (Maroc), est un acteur français d'origine espagnole. Découvert par Luc Besson qui lui permet d'accéder à la célébrité en lui offrant des rôles principaux dans Le Grand Bleu (1988), Nikita (1990) et Léon (1994), il connaît également une grande popularité grâce à la comédie de Jean-Marie Poiré, Les Visiteurs (1993), et ses suites. Il est l'un des rares acteurs français à faire une carrière importante aux États-Unis, tournant notamment dans French Kiss (1995) avec le tandem Meg Ryan / Kevin Kline, Mission impossible (1996) avec Tom Cruise, Godzilla (1998) avec Matthew Broderick, Ronin (1998) avec Robert De Niro, Da Vinci Code (2005) avec Tom Hanks ou encore La Panthère rose (2006) avec Steve Martin. Il fut notamment nommé trois fois au César du meilleur acteur. |
1985-01- Croisière musicale sur S/S Rhapsody avec Isaac Stern, James Galway, Keith Jarett, Maurice André, Vladimir Ashenazy, etc... |
Je n'avais (et c'est bien normal) pas le droit de prendre des photos pendant les concerts. Voici donc les coulisses. Isaac Stern Né le 21 juillet 1920 à Kremenets (RSS d'Ukraine) et mort le 22 septembre 2001 à New York, est un violoniste américain, l'un des plus illustres représentants de la première génération de musiciens entièrement formés aux États-Unis. James Galway Sir James Galway OBE, est un flûtiste né à Belfast en Irlande du Nord le 8 décembre 1939. Il a été première flûte à l'Orchestre philharmonique de Berlin entre 1969 et 1975 sous la direction de Herbert von Karajan. Il se consacre aujourd'hui à une carrière de soliste et vit en Suisse avec sa femme Jeannie Galway, elle-même flûtiste. Keith Jarret Keith Jarrett est un pianiste, saxophoniste, flûtiste, percussionniste, organiste, claveciniste, guitariste et compositeur américain né le 8 mai 1945 à Allentown, en Pennsylvanie. Maurice André Maurice André (né le 21 mai 1933, à Alès, et mort le 25 février 2012, à Bayonne1) est un trompettiste français classique. Il a été professeur de trompette au conservatoire national supérieur de musique de Paris où il a introduit l'enseignement de la trompette piccolo notamment pour le répertoire baroque. Inspirateur de nombreuses innovations de l'instrument, sa grande maîtrise technique et son profond sens artistique ont contribué pendant cinquante ans à populariser la trompette dans le monde entier. Maurice André a joué et enregistré les grands concertos du répertoire avec les plus illustres chefs d'orchestre de son époque. Il est reconnu par ses pairs comme étant le plus grand trompettiste classique de ce siècle. Vladimir Ashkenazy Vladimir Davidovitch Ashkenazy, ou Achkenazi (en russe : Владимир Давидович Ашкенази), né le 6 juillet 1937 à Gorki en URSS, est un pianiste et chef d'orchestre russe, naturalisé islandais en 1972. Sa carrière de pianiste : Ashkenazy entame ses études musicales dès 6 ans et manifeste un talent prodigieux pour son jeune âge. À 8 ans, il entre au conservatoire, puis au conservatoire de Moscou. En 1955, il remporte le deuxième prix au prestigieux Concours international de piano Frédéric Chopin. En 1956, il est lauréat au Concours musical international Reine-Élisabeth-de-Belgique et partage le premier prix en 1962 au Concours international Tchaïkovski. Bien qu'il soit connu pour avoir enregistré les vingt-quatre préludes et fugues de Chostakovitch, l'œuvre complète de Chopin pour piano, la totalité des pièces pour piano de Rachmaninov ainsi que tous ses concertos, son répertoire est beaucoup plus vaste (on peut noter par exemple un enregistrement intégral des cinq concertos de Prokofiev et de Beethoven, des deux concertos de Brahms ou encore des dix sonates de Scriabine). Il aborde tous les genres mais évite de plus en plus Liszt et la musique contemporaine. Sa carrière de chef d'orchestre : À mi-carrière, Ashkenazy s'essaye à la direction orchestrale tout en poursuivant ses activités de pianiste. Ses interprétations des symphonies de Sibelius ont été particulièrement acclamées, tout comme ses enregistrements de la musique orchestrale de Rachmaninov. De 1989 à 1999, il occupe les fonctions de chef permanent à la tête du Deutsches Symphonie-Orchester Berlin. En 1996, il est nommé chef principal de l'Orchestre philharmonique tchèque, en 2004, directeur musical de l'Orchestre symphonique de la NHK, et en 2009 directeur musical de l'Orchestre symphonique de Sydney. Vladimir Ashkenazy est aujourd'hui président de la Rachmaninoff Society. Mark Anthony Chang wrote :"I loved the annual Music Festival at Sea. The number of passengers were limited to under 450 with cabins going from around $4,000 to upwards of $25,000 for 11 days during the 80's & '90s. There were 4 gala dinners, each themed by color - blue, gold orange and white (gowns, ties and cummerbunds being appropriate to the theme). The food budgets were upped 20% to enhance the already excellent cuisine. No additional money was needed during these entire all-inclusive cruises. From the moment of sailing, the ship was awash in champagne. They were the most posh cruises in an annual theme program which also included a Theatre Festival (only in french), a Berlitz total immersion French-language course and many other cultural events featuring artists such as Kathleen Battle, Issac Stern, Andre Previn, James Galway, Jean-Pierre Rampal, Zubin Mehta, Basmet,Vladamer Ashkanazy, The Chamber Orchestra of the Berlin Philharmonic, The Royal Ballet of England featuring the current Étoile and Prima Ballerina Assoluta, and other world-class musicians when I got the opportunity to chat with many of the artists and performers during the cruise and at various Ports-of-Call where they performed ashore like in front of the pyramids of Tulum. The search for wonderful shoreside concert settings produced itineraries with off-beat destinations attuned to the sophisticated traveller (including the Queen mother [RIP] who I actually met and chatted with at the Purser's Office). Each year the passengers received a different musical instrument charm, starting with bronze and moving on to Silver, gold and platinum. The ladies often wore them on bracelets or necklaces adorning their formal attire, attesting to the numbers of cruises they had taken. Bonhommie, friendliness with the crew and a cosmopolitan mix of passengers made for a bon voyage that attracted more than fifty percent repeat passengers. There was a quiet, understated elegance to the Rhapsody's decor during these cruises that immediately enveloped you en grand seigneur style." |
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