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Page 75:
- A day in our advertising life: the invasion
- Tignes (French Alpes) 2012.
- Reportages with the Paris fire brigade
- International challenge of Universities and famous schools in 2013 at Stade Charletty in Paris.
- International Days.

My website does not use cookies because I find it a terrible practice.
When they browse the web or use mobile applications, Internet users are increasingly followed by various players (service editors, advertising agencies, social networks, etc.) who analyze their browsing, their movements and their consultation habits. or consumption, in particular in order to offer them targeted advertising or personalized services.

A day in my advertising life: the invasion
My own ads.


Advertising started a long time ago



Mistakes of the past. Advertising can be very dangerous:
- Cigarettes for pregnant women
- DDT against mosquitoes, for children
- Hydrochloric heroin
- Asbestos for farm buildings








Vous serez jeune et belle avec des bandes chevilles en caoutchou radio-actif




Advertising is sometimes useful, there are some that are very beautiful, even masterpieces. I live from it, but I think there is still an invasion today.






Je me lève le matin, je prépare mes céréales. = PLEIN DE PUB



J'écoute la radio = PLEIN DE PUB.


Je consulte mes réseaux sociaux (LinkedIn, Facebook, Twitter, etc. ...) = PLEIN DE PUB.



Aujourd’hui Facebook compte plus de 2,1 milliards d’utilisateurs et représente ainsi le réseau social le plus populaire dans le monde. A son époque, Facebook était une innovation incroyable qui a changé toute l’humanité et a lancé une nouvelle ère de communication en ligne.
Mais comme toujours, chaque pièce a deux faces: Facebook est actuellement bondé de publicités gênantes qui représentent sa source principale de revenus et apportent une mauvaise expérience à ses utilisateurs.


Instagram : "Acheter"



Je consulte les infos (Le Parisien, 20 Minutes, etc. ...) = PLEIN DE PUB



Je consulte la météo = PLEIN DE PUB

Je relève mes e-mails = PLEIN DE PUB via les spams.




Sur mon Instagram, un post sur trois est une pub.
Même si je rempli la case "retirer cette pub" d'autres arrivent sans cesse. C'est une guerre impossible à gagner.





If dentists make their money from people with bad teeth, why should I trust a toothpaste that 9 out of 10 dentists recommended?
Si les dentistes gagnent leur argent grâce à des personnes ayant de mauvaises dents, pourquoi devrais-je faire confiance à un dentifrice recommandé par 9 dentistes sur 10 ?








Commercials led me to believe that changing shampoo would have a big effect on my life.


Je consulte mes SMS = PLEIN DE PUB.


Je reçois des coups de téléphone = On veut me vendre des fenêtres double vitrage. Depuis plus de 10 ans toutes mes fenêtres sont déjà en double vitrage.

J'allume mon ordinateur de bureau, je fais une recherche sur un événement historique que je voudrais photographier = PLEIN DE PUB.



Des Fenêtres pop-up publicitaires s'affichent en dépit de mes préférences de browser.
Des bulletins « Newsletter » que je n'ai jamais demandés apparaissent.


En sortant pour acheter mon pain,
en passant j'ouvre ma boîte aux lettres papier = PLEIN DE PUB.
En dépit de mon écriteau : "PAS DE PUB"






.
17 avril 2009 : J'ai fait un catalogue des peluches WWF




.

J'ai une pensée triste pour tous ces arbres sacrifiés pour ce papier qui va directement à la poubelle.


A la sortie de mon appart, un gros camion plein de pub.



Juste à la sortie de mon immeuble : un échafaudage pour les ravalements en cours = PLEIN DE PUB.




Des camions sont garés dans une rue près de mon immeuble = PLEIN DE PUB.




J'achète un sandwich. Il y a même une publicité à l’arrière du reçu de caisse.


Je passe un abri bus = PLEIN DE PUB.


Un bus arrive = PLEIN DE PUB à l'avant, sur les deux côtés et à l'arrière du bus. Les tickets de bus pourraient être gratuits.

Je passe le mur d'une résidence = PLEIN DE PUB. Elle déroule 4 affiches en 3 minutes.


Le SDF serait sans doute heureux d'être au chaud.



Sur la pissotière vintage du boulevard ARAGO.

Je contourne un kiosque à journaux = PLEIN DE PUB.
À l’intérieur kiosque à journaux = PLEIN DE PUB.





À l’intérieur des journaux et magazines = PLEIN DE PUB.

Un magazine féminin de 120 pages contient 96 pages de pub
Pour Elle, Vogue, Biba ou n'importe quel magazine féminin, la charge publicitaire approche les 80 %. Les 20 % restant sont constitués de photo avec des noms de marques un peu partout = placements de produits





Les tabloïdes nous prennent pour des cons



"Cameron Diaz a un nouvel amant"

Le regretté Coluche avait pourtant bien essayé : "Omo lave plus blanc que blanc"
De même Cavanna et Hari-Kiri et Charlie Hebdo




Page pub: Le harcèlement téléphonique commercial : déranger les gens du matin au soir devient insupportable.
Les cookies des sites web : un attrape nigaud pour te refiler encore plus de pub.



Une pub pour le clitoris et "l'espoir revient"
Pour la journée des droits des femmes, les rues de Paris recouvertes de clitoris ...


et de vagins par Dior.

Plein de colonnes Maurice sur le trottoir, elles montrent des promotions de spectacles et de films = donc PLEIN DE PUB. Si, si c'est quand même de la pub.



Du matraquage


Des colonnes Maurice version modernes


De belles affiches de cinéma



Ou de théâtre




Je croise des passants en tee-shirts couverts de logo = PLEIN DE PUB. Ils sont forts les publicistes. Des gens payent pour acheter des vêtements qui font de la pub.




Le trottoir est aussi jonché de vieux sacs d'emballage avec des textes imprimés dessus = PLEIN DE PUB.




OK, cest du placement de produits. Qui veut acheter des déchêts nucléaires ?

Tiens, il y aura une brocante ce week-end, et l'affiche, collée au mur, elle est = PLEINE DE PUB.


Un restaurant pose son menu sur un chevalet en plein trottoir. Son chevalet est sponsorisé par Coca-Cola.







Cela prend une nuit pour coller une affiche géante. Je le sais, j'ai bossé pour Netflix pour faire le making of à la GoPro.






Pub et Street Art

La devanture de ma pharmacie est bourrée de pub pour des cosmétiques non médicales = PLEIN DE PUB.






La pub ne recule devant rien, ici un "drive piéton"



L'Oréal vient d'inventer un kit de cosmétiques qui permet de ne pas paraître "maquillée".



Un kit de 17 vêtements pour avoir l'air d'être nue.




Comme disait Coluche : "il suffirait que les gens n’achètent pas pour que cela ne se vende plus"







Misuse of pretty, almost naked, women to get attention


Tiens, une affiche pour une vente "unique" de tapis d'Orient à prix sacrifiés. Il y en a 10 par ans depuis 20 ans.
Cette fois c'est -50% et en même temps 1 acheté = 3 offerts.


J'essaie de prendre un taxi pour un rendez-vous client, la carrosserie du taxi est couverte de PUB. Mais les taxis s'arrêtent rarement. Et pas d'Uber avant 15 minutes.








Je dois prendre le métro = PLEIN DE PUB dans tous les couloirs. Les tickets de métro devraient être gratuits.







Surprise : les couvertures des journaux gratuits dans le métro sont une pub !
Oui, oui,   les couvertures des journaux gratuits dans le métro sont une pub !







Une station de métro est même entièrement envahie par une belle pub Ikea avec des vrais produits accrochés aux murs

Arrivé à destination, j'active mon Smartphone pour trouver mon chemin : les noms des rues sont remplacés par les noms des magasins = PLEIN DE PUB.



Quand on pense à tous les magasins qui payent pour apparaître là, dans le monde entier, cela doit faire un argent incroyable ! Tan pis pour les noms de rues !



Sur toits des maisons, je vois des néons publicitaires en 3D = PLEIN DE PUB.





Ici, c'est peut-être plus de l'info que de la pub.

J'achète des piles dans un supermarché.



Il y a aussi des pubs dans les magasins


Ici, en Tchéquie en 2021, gachant un beau paysage.








Et même des hologrammes :




Un véhicule publicitaire (et oui, il ne sert qu'à se promener dans les rues) passe doucement et déclenche une nuée de klaxons de la part des automobilistes.

Tiens il y a un tournage d'un reportage devant un magasin de sport. Le sportif interviewé est couvert de logo de sponsors. Heureusement on voit quand même son visage.

Il y a pein de tournages de pub dans les rues de Paris.













Je dois téléphoner à mon magasin d'appareil photo : son message d’attente contient une pub Canon.

- Les publicitaires n'ont plus aucune limite :
La "logistique du dernier kilomètre" pour l'enterrement de Charles Aznavour

Ou alors houra.fr : Tout va bien.








Une agence de "presse" me demande de photographier une star de sport aux Champs Élysées, c'est en fait une pub Évian. Mais la star vient de remporter un tournoi, ça fait le buzz. Rappelons que les médias ne sont pas là pour fournir de l'information au public, mais pour fournir du public à leurs annonceurs publicitaires.



18 mai 2015 : Maria Sharapova à la Maison du Danemark pour Evian.

Maria Yourievna Sharapova, née le 19 avril 1987 à Niagan en Sibérie, est une joueuse de tennis professionnelle russe. Elle est la première Russe à réussir plusieurs performances majeures sur le circuit féminin. Tout d'abord, elle est la première Russe à remporter Wimbledon lors de l'édition 2004. Le 22 août 2005, elle devient la 16e joueuse de l'histoire et la première Russe à devenir no 1 mondiale au classement WTA. Elle est ensuite la première joueuse de son pays à s'imposer à l'Open d'Australie lors de l'édition 2008. Enfin, elle est la 10e joueuse de l'histoire (la 6e de l'ère Open) et la première Russe à remporter les quatre tournois du Grand Chelem en simple durant sa carrière : Wimbledon en 2004, US Open en 2006, Open d'Australie en 2008 et Roland-Garros en 2012 et 2014. Elle compte également à son palmarès une médaille d'argent olympique remportée à Londres en 2012.

Product placement: explanation: a celebrity's press organization (here Maria Sharapova's) announces to various relevant agencies (here Max PPP) that this celebrity will be available for a photo shoot at such location on such date. People photographers and videographers rush there to photograph the star. The star shows off a product that is impossible to avoid in the photos (example here: Evian). The media will therefore broadcast these photos free of charge (for Evian). Super for Evian who therefore only pays the star for her performance. Is it really press? That's why I stopped working for a press agency and continued as a freelancer. FYI, my pension is €413 per month!



La grande invention publicitaire du siècle :
Faire poser les gens ou la célébrité devant une bâche imprimée de logos des "sponsors", souvent très laide.


Ici Usain Bold posant pour Samsung









Je dois prendre ma voiture pour réaliser un shoot mode à la campagne.
Au bord de l’autoroute, devinez : plein de panneaux publicitaires géants en 4x3 mètres. J'ai une pensée triste pour tous ces paysages urbains ou nature gâchés par ces pubs.




Ils appellent ça "support de communication" ???










Mon shoot mode à la campagne : le mannequin féminin est très jolie, et porte une jolie robe, mais je suis très limité dans les photos à faire car il faut impérativement bien voir le sac car c'est aussi un placement de produit. Son foulard aussi est un placement de produit. En moyenne, un magazine féminin est composé de 70 % de publicité, sans compter les éditos "mode" qui sont aussi pour la plupart, des placements de produits déguisés.

Puis je dois photographier une soirée événementielle : un fabricant d'articles électroniques fête ses 20 ans d'existence. Il y a une salle de conférences, un buffet et un espace "ateliers" où des fabricants (on dit des sponsors) de composants présentent leurs produits. Il y a des "cadeaux" publicitaires à foison. On m'offre une jolie peluche avec un tee-shirt Intel.

De retour à la maison, je regarde la télé avec ma copine. Avant, pendant la pause pub, on avait juste le temps d'aller aux toilettes. Maintenant on a le temps d'aller aux toilettes, de préparer une soupe aux choux, de lire Guerre et Paix et de reproduire l'Arc de Triomphe en Lego. Donc on a maintenant Netflix, sans pub. Mais il n'y a pas les infos.






Au salon Porte de Versailles, même dans les toilettes.




On regarde le "documentaire" grand public qui a été réalisé sur le lieu de travail de ma compagne. Ça commence par le plan d'accès détaillé pour s'y rendre, et tout y est super, vraiment il faut y aller. C'est en fait un placement de produit payé très cher par l'établissement.




Nous décidons d'aller au cinéma. Évidemment, c'est plein de pubs très belles avant le film. Dans le film, il y a plein de placements de produits, négociés à fond entre la production et les fabricants (sponsors). Souvent discrets, parfois grossiers, les placements de produits sont aujourd’hui partout. Une pratique aussi vieille que le cinéma.





In December 2019: in a French paying cinema, I counted 15 advertisements (I do not include trailers for upcoming films) before the film! Soon the trailers will take longer than the film !!







During the lockdowns 2020 COVID-19




In December 2019: on French pay TV channels, up to 15 minutes of advertising before the evening movie!


Pub dans le ciel





Nous transformons nous en zombies ???

Bon, bref, une journée bien remplie .... de PUB.

P.-S. : J'ai mis des photos de moi par-ci, par là, pour vous monter ce qu'est le placement de produits.



Advertising videos that cut Facebook's personal videos are an abomination.











Les écrans publicitaires : des objets inutiles, énergivores, polluants et agressifs

Consommant 15 fois plus d’électricité que les panneaux rétro-éclairés ils sont le symbole de tout ce que notre société de consommation a produit de plus absurde : des objets inutiles, poussant à la consommation, énergivores, polluants et agressifs.
En juin dernier, 15 associations, alertaient l’Hôtel de Ville de Paris sur les dangers d’autoriser les écrans publicitaires dans la ville des Accords de Paris. Si le règlement local de la Ville de Paris interdit les publicités lumineuses, depuis 2017, les négociations sont ouvertes.
À cette époque, l’association Résistance à l’Agression Publicitaire avait publié des documents de l’afficheur JC Decaux pour le projet d’un parc numérique. Si celui-ci semblait au final moins énergivore que les technologies précédentes, la question n’est peut-être pas tant la course au moindre mal en kW, mais à la limite que nous mettons à la présence des écrans dans notre vie.
Ces écrans génèrent de la pollution au moment de leur fabrication et pendant toute leur durée de vie. Consommant 15 fois plus d’électricité que les panneaux rétro-éclairés ils sont le symbole de tout ce que notre société de consommation a produit de plus absurde : des objets inutiles, poussant à la consommation, énergivores, polluants et agressifs.
Pour les enfants se retrouvant devant ces écrans géants, ils contribuent aux phénomènes largement observés de fragilisation de la rétine, de manque d’attention ou encore de troubles du sommeil.
À Paris, sur le réseau de la RATP, ce sont maintenant 650 écrans numériques qui se sont développés dans les couloirs du métro et les abribus. Les publicitaires peuvent ainsi cibler les consommateurs en modifiant la publicité selon l’heure de passage et le lieu, ou en combinant plusieurs publicités sur un seul espace. En 2020, la RATP lancera un appel d’offre pour moderniser l’affichage, c’est à dire multiplier ces écrans numériques. À Nantes, l’installation des panneaux publicitaires numériques soulèvent des mécontentements. On s’interroge sur la logique qui pousse les élus à demander aux citoyens des efforts pour réduire leur consommation énergétique, tout en autorisant ce genre de pratique.
Si nous pouvons nous offusquer moralement ou croire que cela ne nous atteint pas, le fait est que la banalisation des écrans dans nos vies nous rend sensibles aux images qui bougent et aux panneaux qui envoient beaucoup de lumière.
La présence des écrans dans nos vies est aujourd’hui banalisée. Ceux qui choisissent de se réveiller avec un réveil traditionnel plutôt qu’un écran, ou qui n’ont qu’un objet connecté, sont considérés comme des curiosités ou des gens qui doivent se faire violence. C’est peut-être bien parce qu’il y a des gens pour tourner la tête, que les panneaux publicitaires continuent d’exister et de s’adapter aux nouvelles technologies.
Serge Rodriguez





C'est un oiseau ! Non, c'est un avion ! Non, c'est une publicité !

Dans un avenir proche, ce sont des publicités que les enfants prendront peut-être pour Superman, en scrutant la nuit, le ciel étoilé.
La société russe StartRocket a en effet pour projet de transformer le ciel en un espace publicitaire géant, rapporte le site d’Europe 1 qui se fait l’écho d’une vaste enquête publiée dans le numéro de février 2020 de Science et vie.

Les plus inquiets diront : Black Mirror. Cette fois-ci, on les comprend. D’autant que ladite société russe a déjà un premier client.
La marque de soda Pepsi a passé un contrat avec la start-up russe qui a rendu publique son projet en janvier de l’année dernière. Nul doute qu’elle devrait rapidement être rejointe par d’autres. "La société prévoit de lancer un premier essaim de satellites publicitaires l’année prochaine", précise Europe 1. 
En 2021, nos yeux pourront donc rencontrer le logo d’une enseigne de fast-food en cherchant la grande ourse. À terme, il suffira peut-être de scruter le ciel pour connaître les dernières promotions sur la lessive. 

Comment ça marche ?
Il s’agit d’envoyer des nanosatellites dans l’espace – pas plus grands qu’une "boîte à chaussures", précise le site de la radio. Une fois dans l’espace, chaque petit satellite devrait alors se déployer en une voile, et jouer ainsi le rôle d’un pixel grâce à la lumière du soleil qui s’y réfléchira.
"Chaque voile déployée jouerait le même rôle qu’un pixel lumineux sur le fond noir du ciel, permettant ainsi de former des logos ou des messages", précise Europe 1.
Ainsi, pour reconstituer un message publicitaire ou le logo de Pepsi par exemple, il faudra quelque 200 à 300 nanosatellites.






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Derrière nos écrans de fumée. The Social Dilemma.
« Si vous ne payez pas pour un produit, c'est que VOUS êtes le produit »

Réalisé par Jeff Orlowski, Derrière nos écrans de fumée (dont le titre originel est The Social Dilemma) est un film documentaire qui permet de donner la parole à une sélection de spécialistes triés sur le volet. On retrouve en effet une flopée d’experts de la tech qui ont travaillé chez Twitter, Google, Pinterest, Facebook ou encore Instagram qui nous mettent unanimement en garde contre leurs inventions/travaux et décrient l’impact dangereux des réseaux sociaux sur notre quotidien.
Ce documentaire produit par Netflix est un excellent moyen de prendre conscience très concrètement des dangers de ces applications qui animent nos vies.

LA FACE CACHÉE DES RÉSEAUX SOCIAUX

Des experts en technologie et des militants sonnent l'alarme concernant certaines de leurs inventions qui provoquent des addictions et déstabilisent les démocraties.

« Derrière nos écrans de fumée », réalisé par Jeff Orlowski, est un des documentaires les plus intéressants du moment sur Netflix. Pendant une heure et demie, sans prise de tête, il nous emmène dans le côté obscur des réseaux sociaux en interrogeant des « pontes » de Facebook, Twitter, Pinterest ou Instagram qui ont préféré quitter cet univers. Le constat de ces spécialistes est cruel : ils ont créé un monstre et ce monstre s'est échappé. L'impact extrême des réseaux sociaux sur les jeunes, les fake news, la manipulation des opinions, tout est décrit sans concession. Parlant de Facebook, l'un des interviewés explique : « Si vous ne payez pas pour un produit, c'est que VOUS êtes le produit ». A méditer.

Facebook, Twitter, Pinterest ou Instagram ont collecté tant de données et elles en savent tellement sur nous, grâce aux milliards de capteurs que nous transportons avec nous toute la journée maintenant sur nos téléphones.

De quoi parle "Derrière nos écrans de fumée" ?
Le nouveau documentaire de Netflix, Derrière nos écrans de fumée, promet d’examiner en profondeur, et probablement de manière inquiétante, comment les plateformes de médias sociaux et leurs algorithmes peuvent manipuler leurs utilisateurs et contribuer à la propagation des théories du complot, à la dégradation de la santé mentale des jeunes et à la polarisation politique qui s’est emparée de notre paysage actuel.

Le film de Jeff Orlowski interroge des experts des médias et d’anciens ingénieurs en médias sociaux, dont Tristan Harris du Center for Humane Technology ; le co-inventeur du bouton « Like » de Facebook, Justin Rosenstein ; Tim Kendall, ancien président de Pinterest et ancien directeur de la monétisation de Facebook ; Cathy O’Neil, auteur de Weapons of Math Destruction ; et Rashida Richardson, directrice de la politique à l’AI Now Institute.
Un documentaire alarmant
« Les algorithmes contrôlent ce que nous voyons, quand nous le voyons, comment nous le voyons, sans aucun égard pour la vérité ou pour l’humanité », a déclaré Jeff Orlowski. « Ces plateformes sont pilotées par un modèle commercial qui privilégie l’attention à la qualité, et les algorithmes pousseront systématiquement les utilisateurs à une réflexion de plus en plus polarisée et extrême, à la recherche de tout ce qui nous permettra de rester engagés ».

C’est un sujet préoccupant dont nous sommes tous plus ou moins vaguement conscients, surtout à la suite de l’augmentation des enquêtes sur la grande influence de Facebook sur les comportements et les opinions, notamment des jeunes. Mais le fait de voir tout cela sous forme de documentaire pourrait bien vous inciter à supprimer enfin toutes vos applications de réseaux sociaux sur votre téléphone.

Le documentaire qui va vous faire éteindre votre téléphone

Le dernier documentaire signé Netflix dénonce efficacement l’addiction créée par les réseaux sociaux.
Propagation de fake news, augmentation des suicides chez les adolescents, polarisation des débats politiques… Ces dérives néfastes des réseaux sociaux sont maintenant connues depuis longtemps. Pourtant c’est visiblement inquiets et le cœur lourd que s’installent tous les ex-employés des grands mastodontes du Web (Facebook, Twitter, Google, etc.) devant la caméra de Jeff Orlowski. Tous vont tenter de nous révéler le secret le mieux gardé par leurs sectes : comment utilisent-elles la psychologie humaine pour nous rendre accro et manipuler notre comportement ?

Surveiller et trahir
L’exposé d’une heure et demie qui suit à de quoi terrifier la plupart des spectateurs. Le premier rappel qui nous est fait est simple : les réseaux sociaux ne sont pas gratuits, car "si tu ne paies pas pour le produit, tu es le produit". Ces entreprises - les plus riches que l’Histoire ait jamais connues - vendent la seule ressource à leur disposition, autrement dit notre intimité. Les grandes lignes de ce marché financier qui manipule l’humanité nous sont expliquées avec pédagogie, notamment le "capitalisme de surveillance". Tous nos faits et gestes sur internet sont enregistrés dans les moindres détails, les fameuses data offertes à des algorithmes, le tout pour prédire et influencer nos actions futures.
Point fort du documentaire, des experts, tels Tristan Harris et Chamath Palihapitiya, repentis de chez Google et Facebook, reviennent en détail sur la "captologie", manière dont la technologie devient un outil d’influence et de persuasion. À grands coups de likes et de tags, infimes doses de dopamine, les réseaux sociaux s’érigent au rang de drogues dures, se rendant indispensables et absorbant toute notre attention.

Les dérives et utilisations abusives prennent une tournure tragique lorsque sont énumérés les chiffres des suicides et dépressions adolescentes, qui ont triplé depuis l’apparition de ces médias. La Génération Z, première exposée à leurs dangers, ne semble pourtant pas moins protégée que les générations précédentes, au vu des théories conspirationnistes qui pullulent en masse et autres rabbit hole créés par Google ou Facebook. Un grand nombre des préjudices causés par leur utilisation est listé, à l’image de la dysmorphie due à Snapchat ou des ingérences russes.

DES DÉRIVES BIEN RÉELLES
Anticipons tout de suite les critiques : une grande partie de ce que montre The Social Dilemma est vraie. Rien de nouveau, mais le constat est réaliste. Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et Instagram et plateformes comme Gmail ont été créés et améliorés pour maximiser le temps que les internautes y passent. On parle des petites bulles de notifications omniprésentes inventées pour générer un sentiment de manque et d’envie. On parle de la manière dont une plateforme sait exactement quel contenu vous lisez sur votre mobile, à quelle vitesse vous scrollez, combien de secondes votre attention sera retenue par une vidéo. Vous vous êtes laissé happer par une vidéo d’un paresseux à trois pattes qu’un capybara aide à traverser la route ? Votre fil d’actualité Facebook va se remplir de vidéos d’animaux du même acabit.

Évidemment, il n’y a pas que les capybaras altruistes qui inquiètent ces hommes qui témoignent dans The Social Dilemma, ces anciens de la tech qui se construisent une morale après avoir enchaîné les jobs dans les Pinterest YouTube Twitter Google Facebook Instagram, et se présentent depuis quelques années comme les lanceurs d’alerte prétendument légitimes d’un système qu’ils ont largement contribué à bâtir. Il y a aussi la politique, évidemment, les fausses informations qui engendrent les fausses informations, les manœuvres de déstabilisations géopolitiques qui n’ont même pas eu besoin de piratage pour arriver à leurs fins, juste de détourner des outils qui sont déjà présents. « Nous n’avions pas anticipé tout ça lorsque nous avons créé Twitter il y a 12 ans », entend-on le CEO Jack Dorsey balbutier.

Et puis il y a ces « bulles », les fameuses « bulles » qui vous permettent de « vous isoler dans une bulle, grâce à la technologie », entend-on une présentatrice américaine asséner à la télévision. Pour montrer combien elles peuvent être néfastes, The Social Dilemma dépeint la chute d’un adolescent fictif dans le gouffre des vidéos complotistes d’un parti inventé, l’Extrême Centre, se voyant proposer de plus en plus de vidéos similaires et sombrant dans la radicalisation d’extrême droite. Un YouTubeur, en particulier, attire son attention : un homme blanc qui parle face caméra et professe des « ils nous mentent, ils nous contrôlent » à longueur de vidéos.

Tristan Harris est assis sur une chaise, face caméra et nous assure : « Comment pouvez-vous vous réveiller de la matrice si vous ne savez pas que vous êtes dans la matrice ?

Le virtuel ne serait pas le vrai monde ?

Que l’on soit un utilisateur acquis ou non aux réseaux sociaux, le fait est que les écrans vampirisent de plus en plus notre quotidien au point de devenir une véritable drogue. C’est la thèse que “Derrière nos écrans de fumée” développe au sein de son nouveau documentaire choc. En croisant fiction et intervention d’experts (l’on retrouve notamment des acteurs de la tech’ comme le créateur de Pinterest ou bien encore le CEO de Twitter), ce documentaire compte bien sensibiliser les jeunes et les moins jeunes aux dangers des réseaux sociaux ainsi qu’à impact qu’il pourrait bien avoir sur le devenir de notre humanité. (rien que ça…)

Si le propos est volontairement alarmiste, il parvient à faire le tour de grandes questions : utilisation excessive des applications, addiction, polarisation, dévalorisation de soi, manipulation par la récupération de data et enfin, les fausses informations qui peuvent conduire au déséquilibre de nos démocraties.

Petit bonus, en fin de documentaire, les professionnels à qui l’on a donné la parole distribuent de nombreux conseils qui pourraient s’avérer bien utiles… Après cela, il y a même fort à parier pour que vous désactiviez toutes vos notifications 😉

« Derrière nos écrans de fumée » : un réquisitoire contre « l’algorithmisation » de nos vies

Quand le journaliste demande à Tim Kendall, ancien responsable de la monétisation de Facebook et ex-directeur de Pinterest, ce qui l’inquiète le plus dans le développement exponentiel des réseaux sociaux, il soupire et réfléchit un bref instant avant de répondre. « A très court terme ? La guerre civile. »

Les algorithmes qui cherchent, avec chaque jour un peu plus d’efficacité, à nous maintenir « engagés » sur Facebook, YouTube, Instagram ou Twitter.

Comment expliquer concrètement le fonctionnement de ces algorithmes, quand du propre aveu des « repentis » qui s’expriment, seule une poignée de personnes, chez Google ou Facebook, comprennent réellement ces logiciels ? Pour y parvenir, le documentaire a recours à un petit artifice, en prenant pour exemple une famille fictive dont on mesure, entre deux entretiens, le rapport difficile à la technologie : celle-ci conduit le fils à s’isoler, tandis que la fille développe une mauvaise image d’elle-même. Face à eux, trois acteurs jouent le rôle des algorithmes, qui ont pour but de les maintenir accrochés à leur téléphone et leur vendre des publicités ciblées.
Ce dispositif, un peu kitsch mais finalement très efficace, permet de visualiser les grands principes qui régissent les réseaux sociaux, et les conséquences désastreuses qu’ils peuvent avoir – sur la radicalisation du débat politique ou des événements précis comme le génocide des Rohingyas en Birmanie. La démonstration est convaincante, mais souffre parfois de quelques raccourcis et exagérations. Un graphique montrant l’évolution de la puissance de calcul sur un siècle est ainsi présenté comme la preuve de la défaite de nos cerveaux face à la machine, quand le documentaire montre bien que ce sont les paramètres choisis à la conception, plus que l’efficacité des machines, qui sont au cœur du problème.

Cambridge Analytica : Le scandale Facebook-Cambridge Analytica ou la fuite de données Facebook. Cambridge Analytica renvoie aux données personnelles de 87 millions d'utilisateurs Facebook que la société Cambridge Analytica (CA) a commencé à recueillir dès 2014. Ces informations ont servi à influencer les intentions de vote en faveur d'hommes politiques qui ont retenu les services de CA. À la suite de la révélation de la fuite, les publics américain et britannique ont exprimé leur indignation. Même si la société Facebook s'est excusée, la valeur de ses titres boursiers a sensiblement décliné.





C’était fin août 1981. Les passants avaient été intrigués par une jolie fille, Myriam, qui annonçait : « Le 2 septembre, j’enlève le haut« .
Et, le 2 septembre, Myriam avait bel et bon ôté le haut de son maillot en disant : « Le 4 septembre, j’enlève le bas« . Tout le monde attendait la suite, certains intrigués, d’autres impatients, d’autres encore indignés.
Pari tenu : le 4 septembre, au petit matin, Myriam avait enlevé le bas devant la foule qui se ruait devant les panneaux d’affichage. Mais elle leur avait tourné le dos. C’était signé : « Avenir, l’afficheur qui tient ses promesses« .
Ce clin d’œil charmeur et charmant c’était pour démonter qu’Avenir était en mesure de changer toutes les affiches de la capitale parisienne en une seule nuit.
La campagne de cet afficheur provocateur, innovant et créatif a marqué les esprits, recueillit les faveurs du public, fait le tour du monde et est rentrée dans l’histoire de la pub en devenant « culte ». C’était la première fois qu’une affiche était autant appréciée par le public. Et, peut-être bien, la dernière.
Myriam est sans doute la campagne la plus culottée, la plus libre et la plus buzzée de l’histoire de la publicité, le cas d’école le plus discuté chez les étudiants de pub et de com. Sortie des plus grands créatifs de l’époque : Philippe Michel, Pierre Berville et Joël Le Berre.

Une publicité problématique de 1981 refait surface sur les panneaux publicitaires Parisiens depuis quelques jours. On y voit une quinquagénaire en maillot de bain devant une mer bleu turquoise. Le slogan associé à la publicité prône : « Le 2 novembre j’enlève encore le haut ». Cette femme incarnerait Myriam Szabo des années après sa première apparition dans une publicité similaire.

En effet, en 1981, Myriam Szabo apparaissait sur les panneaux publicitaires dans les rues de Paris et de plusieurs grandes villes françaises. En bikini sur une plage paradisiaque, elle annonçait : « Le 2 septembre, j’enlève le haut. » Le 2 septembre, parole tenue la jeune femme dévoilait sa poitrine et nous disait : « Le 4 septembre, j’enlève le bas. » Quelques indignations ont eu lieu mais les Francais.es attendaient, intrigué.es, impatient.es, de voir si le corps de Myriam allait être révélé totalement nu d’après les articles qui traitaient de l’impact de cette publicité. Et le 4 septembre, promesse tenue, Myriam Szabo ôtait finalement le bas, mais se tenait de dos. Le message étant le suivant : « Avenir, l’annonceur qui tient ses promesses. »

L’afficheur Avenir souhaitait démontrer qu’il était en mesure de changer toutes les affiches publicitaires en une seule nuit. Cette campagne publicitaire aguicheuse était la première à jouer sur l’effet de teasing, c’est-à-dire sur l’attente des consommatrices/consommateurs. La publicité aurait eu selon un sondage Ipsos de 1985, 72 % de bons retours, 60 % des personnes interrogées jugeant la campagne comme étant proche de la création artistique et 2 français.es sur 3 auraient aimé.es que leurs proches y fassent carrière.

Ce qui est problématique avec la campagne de 1981, comme avec celle de 2022, c’est qu’elle s’appuie sur un corps féminin comme objet d’intrigue pour vendre quelque chose. Chose que nous ne connaissons pas à première vue, car les premières images ne présentent pas de marque, ni de produit à vendre. La femme est présentée comme objet du regard, les gens attendent de la voir se dévêtir.

Le corps des femmes ne leur appartient pas, il est jeté en pâture dans les rues des grandes villes pour être regardé par des hommes.

Au regard des images publicitaires, dans les médias, dans la pornographie, le corps des femmes subit toujours le même traitement, il est hyper-sexualisé. Il présente les femmes comme des corps, pour vendre, les regarder, les désirer. Personne n’y fait plus réellement attention, c’est une représentation banalisées après tout ! Mais les femmes ne sont-elles que des corps ? Qu’en est-il de leurs pensées, de leurs travaux scientifiques, historiques qui, bien sûr, ne sont pas mis en avant ?

Le moyen de communication d’Avenir s’appuie sur le corps des femmes, comme il aurait pu s’appuyer sur une image de la misère, pour influencer l’empathie des consommatrices/consommateurs ou stimuler leur désir et in fine vendre leurs services. Ce sont des publicités qui ont pour but de choquer, d’intriguer pour « faire le buzz », qu’on en parle ! Tous les moyens sont bons. D’où le fait de réactualiser, des années après, la publicité « Myriam » qui a eu de bonnes remontées en 1981 !

Il est temps d’en finir avec ces représentations sexistes et de reprendre le pouvoir sur nos corps, ne laissons pas passer ces images sexistes et réductrices. Condamnons ces marketings qui se servent de l’image des femmes pour attirer l’œil et vendre leurs produits. Nous ne savons pas encore l’issue de cette campagne, toutefois, espérons que le résultat sera différent en termes de production et de réception !

Sur France Inter, dans l’émission Affaires sensibles « Une campagne de pub inédite : « Demain, j’enlève le haut » du 17 juin 2021, Fabrice Drouelle nous disait : « La campagne de pub Myriam. Une campagne que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître ? Sans doute. Et qui serait, aussi, difficilement concevable de nos jours. » Et pourtant ! Affaire à suivre le 2 novembre…




En 2023





Tignes en janvier 2012




- Reportages with the Paris fire brigade

J'habite à côté des pompiers du 75013 depuis 30 ans. Ils ont toujours apprécié mes reportages photo.
Le 22 octobre 1887, la caserne s'est installée au 55, boulevard du Port-Royal (Paris 13e). Elle est implantée au centre et sur les hauteurs de la rive gauche, face aux jardins du Val – de - Grâce. Le bâtiment est conçu par Antoine – Julien Ménard. La caserne offre des conditions privilégiées aux pompiers avec une très haute tour de séchage pour les tuyaux, un gymnase fermé, des façades d'exercice, la cave dite à feu située sous le séchoir, pour les manœuvres de feu de cave, de vastes écuries et une belle cour pour leurs barbecues.


















































































































































Challenge International du Monde des Grandes Ecoles et Universités le 1er juin 2013 au Stade Charletty





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- International Days.




Le vendredi 26 novembre 2021















2 novembre : Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes = à sully menacé par l'armée
November 2: International Day to End Impunity for Crimes Against Journalists



27 octobre : Journée mondiale du patrimoine audiovisuel = mon doublage femme de loi 15 nov 2014
Post prod dans les studio de Alizé Films le 25 octobre 2007 : TF1 : Femmes de loi aux Buttes Chaumont, saison 2, épisode 34 : Une femme parfaite. Réalisateur : Hervé Renoh Avec : Natacha Amal (Elisabeth Brochene), Noémie Elbaz (Emilie Jeanson), Esteban Carvajal Alegria (Aymeric Delarive), Sabine Crossen (Fantomas), Christian Fournier (Le photographe).

J’installe un studio de mode aux Buttes Chaumont et joue mon métier de photographe pour le tournage d’Alizes Film. Séries TV, Genre : Policier, Date de sortie : mai 2008, Durée : une heureMerci à Louise pour les photos de moi.










30 septembre : Journée mondiale de la traduction.
Comme je suis bilingue français-anglais et photographe professionnel, je traduis des livres de photographie de l'anglais vers le français.
Exemples de traductions : Un livre de photographie de 95 pages, aux Editions VM, Paris : "Le portrait", traduis de l'Anglais vers le Français, ISBN : 2-86258-201-8. Un livre de photographie de 168 pages, collection Pro-Lighting, aux Editions VM, Paris : "La Photo Glamour", traduis de l'Anglais vers le Français, ISBN : 2-86258-190-9.








La gastronomie française a été inscrite en 2010 au patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Cette reconnaissance a été suivie par le lancement de la “Fête de la Gastronomie” en 2011 à l’initiative de Frédéric Lefebvre, alors Secrétaire d’État chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation.






15 septembre : Journée internationale de la démocratie. International Day of Democracy
La Liberté guidant le peuple est une huile sur toile d'Eugène Delacroix réalisée en 1830, inspirée de la révolution des Trois Glorieuses. Le tableau est exposé au musée du Louvre en 1874. L'œuvre a été fréquemment choisie comme symbole de la République française ou de la démocratie.
Liberty leading the people is an oil on canvas by Eugène Delacroix made in 1830, inspired by the Three Glorious Revolution. The painting was exhibited at the Louvre in 1874. The work was frequently chosen as a symbol of the French Republic or of democracy.









2 journées de prises de vue, type événementielle et filmage, en extérieur, en région Rhônes-Alpes, les samedi et dimanche 2 et 3 sept 2001. 2600 photos.
Repérage la veille pour déterminer les meilleurs endroits propices aux prises de vue.
Le but est de photographier chaque participant, ou chaque équipe de trois participants, lors de 2 courses (pied, canoë) à un endroit stratégique du trajet qui donne une bonne vue des sportifs (si cela existe). Le brassard doit être vu le mieux possible pour l'identification ultérieure. Une coopération des organisateurs est souhaitable.
Les prises de vue du samedi 01 sept sont les candidats immédiatement après leur inscription dans un petit endroit réservé à cette fin. Trois photos par équipe.
Les prises de vue sont en numérique, avec le Nikon D1X, fichiers de 7 Mo en RVB, format JPG. Les photos restent brutes, sans retouches. Gravure et livraison de 3 CD-ROM Mac/PC chez Komerezo le dimanche soir.









23 août : Journée mondiale Topless est un événement annuel organisé pour soutenir le droit des femmes à se mettre seins nus en public pour des raisons d'égalité des sexes. La liberté seins nus … Je ne poste pas de photo car FB ne tolère pas La liberté seins nus ....

Go Topless Day - August 23, 2020 - Go Topless Day is an annual event held to support the right of women to go topless in public on gender-equality grounds. Topless freedom … I do not post any photo because FB do not tolerate Topless freedom ...







1 Sebastiao Salgado
2 Paolo Roversi
3 Yann Arthus Bertrand
4 Jean-Baptiste Mondino
5 Peter Lindbergh
6 Jean-Jacques Annaud (metteur en scène et aussi grand photographe)
7 Lucien Clergue
8 Reza Deghati
9 Raymond Depardon
10 Rony Willis
Thomas Pesquet est aussi un bon photographe dans l'ISS.


19 août : Journée mondiale de la photographie.
Chaque 19 août depuis 2010 est célébrée la Journée Mondiale de la Photographie. Petit retour historique sur cette "sainte" journée, qui vise à inspirer les photographes de toute la planète à partager une seule photo dans un but simple : partager leur monde avec le Monde.

J'ai 3 millions de mes photos chez moi et je me souviens de toutes, mais je n'arrive pas à me souvenir du mot de passe que j'ai créé hier.

August 19: World Photography Day.
Every August 19 since 2010 is celebrated the World Photography Day. Small historical return on this "holy" day, which aims to inspire photographers from all over the planet to share a single photo for a simple purpose: to share their world with the world.
















Cette photo m'a été immédiatement censurée par Facebook avec une semaine d'interdiction de publier.
Par contre j'ai vu les 8 minutes de la vidéo de George Floyd en train de mourir. Ils ont mis une journée à censurer
Aux USA, le naturisme est donc plus tabou que la mort en gros plan.


























La Journée mondiale contre le travail des enfants est un jour férié sanctionné par l'Organisation internationale du travail et lancé en 2002 dans le but de sensibiliser et de lutter contre le travail des enfants.
The World Day Against Child Labour, which is held every year on June 12, is intended to foster the worldwide movement against child labour.











The World Mini Skirt Day was planned and launched in 2015 by Rachid Ben Othman, President of the League for the Defense of Secularism and Freedoms, and feminist activist Najet Bayoudh. Their call to Tunisian women to participate in a mini-skirt rally on June 6th is a sign of solidarity with the oppressed woman
Aujourd'hui, c'est la journée mondiale de la mini-jupe. L'occasion de rappeler que les femmes ont le droit de porter ce qu'elles veulent et ce, peu importe leur religion ou le pays dans lequel elles vivent.





Le débarquement de Normandie, également appelé débarquement en Normandie, ou encore débarquement allié en Normandie, nom de code opération Neptunec, est une opération militaire amphibie et aéroportée alliée de la Seconde Guerre mondiale lancée dans la nuit du 5 au 6 juin 1944.
C'est la phase d'assaut d'une plus vaste opération qui vise à créer une tête de pont alliée de grande échelle dans le nord-ouest de l'Europe et l'ouverture d'un nouveau front à l'ouest. Ce débarquement marque le début de l'opération Overlord, nom de code de la bataille de Normandie.
Cette opération Neptune incluait les opérations aéroportées américaine et britannique pendant la nuit du 6 juin ainsi que les bombardements préparatoires aériens et navals des défenses côtières allemandes, la traversée de la Manche par plusieurs milliers de navires et enfin le débarquement des troupes dès le 6 juin au matin (« Jour J ») sur les plages du nord-est du Cotentin et de l'ouest du Calvados dans les secteurs (d'ouest en est) d'Utah Beach et Omaha Beach et de la pointe du Hoc pour les Américains, Gold Beach pour les Britanniques, Juno Beach pour les Canadiens et Sword Beach pour les Britanniques (incluant les Français libres des commandos Kieffer).
Une fois les plages prises, l'opération se poursuit par la jonction des forces de débarquement et l'établissement d'une tête de pont sur la côte normande puis l'acheminement d'hommes et de matériels supplémentaires. Les jours suivants voient la mise en place des structures logistiques (ports artificiels Mulberry, oléoduc sous-marin PLUTO) pour le ravitaillement du front et le débarquement de troupes supplémentaires.











25 mai : Journée mondiale de la serviette. 25th May is international towel day.



















 





Here are about 620 examples of my photographic event coverage since 1984, that is to say, 30 years. This is without counting those which my clients have requested that I do not show and photos that have been lost.

I know it's enormous.
No, I am not a photographic robot: my mother had me tested



This list begins with the compilations: Fashion & Models, Lingerie, Beauty, Makeup & Hair, Portraits, Events, Objects, Archi & Deco, Industry, Press, Celebrities, etc.



The sensors and web capabilities from 1995 to 2005 were horrible compared to now (2021). 40 KB max by images. My uploads at this time were therefore bad. I replace them little by little. It's long. Thank you for your indulgence.

Conclusion 1: I must not be bad, so that all these people trust me.
I have loyal customers, a sign that they are satisfied with my services. Examples: Tollens, MEDEF, Dior, GMF, Unesco, L'oréal, Anaé, Agefiph, Essilor, Genzyme, Embassy Ireland, The Advertisers Club, Garmin, VW, etc. ...

Conclusion 2: Thanks to all these varied clients (industry, wedding, corporate and personal portraits, press, events, objects, medical, culinary, diving, sports, pageants, etc. ..), I see extraordinary slices of life, confidential or public, trades and fabulous countries. I do feel very privileged. Real life, live. Thank you customers.

In rough estimation, I take 5,000 photos a week. 5,000 x 52 = 260,000 a year. For 35 years = 9,100,000 photos. Well, I would like to reach 10 million anyway!

Conclusion 3: Photography is my language

There is also a search command, not always up to date, but pretty comprehensive on all my reportages.



Due to manipulations between prisedevue.photos, prisedevue.photos and famousphotographer.com, some links may be broken. Sorry. I'm working on it !

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Not many photographers have the courage to show their photos on a daily basis. I do it to show that in a wide range of photography, I always take good photos for my clients. Technical perfection and an obvious sensitivity. If you imagine the logistic necessary for these missions (estimates, preparations, equipment, transports in traffic jams, safety, etc.), you can see that I am a photographer who achieves results in all circumstances.

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